1994 au cinéma

De nos jours, 1994 au cinéma est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes à travers le monde. Grâce à sa pertinence et son impact sur la société, 1994 au cinéma est devenu un point d'intérêt pour les industries, les gouvernements et les universitaires. Depuis sa création jusqu'à son évolution actuelle, 1994 au cinéma a fait l'objet d'études, de débats et d'innovations, conduisant à une meilleure connaissance et compréhension de son importance. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de 1994 au cinéma, en analysant son impact sur divers aspects de la vie quotidienne et son influence sur le développement futur.

Chronologies
1991 1992 1993  1994  1995 1996 1997
Décennies :
1960 1970 1980  1990  2000 2010 2020
Siècles :
XVIIIe XIXe  XXe  XXIe XXIIe
Millénaires :
-Ier Ier  IIe  IIIe
Chronologies géographiques
Antarctique
Chronologies thématiques
Calendriers
Années du cinéma :
1991 - 1992 - 1993 - 1994 - 1995 - 1996 - 1997
Décennies du cinéma :
1960 - 1970 - 1980 - 1990 - 2000 - 2010 - 2020

Cet article présente les faits marquants de l'année 1994 au cinéma.

Événements

15 juin : Sortie du film Le Roi lion qui se classe Numéro 1 au Box-Office mondial de l'année 1994.

Principales sorties en salles en France

Festivals

Cannes

Autres festivals

Récompenses

Oscars

Césars

Autres récompenses

Box-Office

France

Class.
Titre Pays Réalisateur Box-Office France
1. Le Roi lion États-Unis d'Amérique Rob Minkoff, Roger Allers 10 123 190 entrées
2. Un Indien dans la ville France Hervé Palud 7 947 786 entrées
3. Quatre mariages et un enterrement Mike Newell 5 791 528 entrées
4. Madame Doubtfire États-Unis d'Amérique Chris Columbus 4 986 892 entrées
5. Forrest Gump États-Unis d'Amérique Robert Zemeckis 3 963 919 entrées
Source :cbo-boxoffice.com

États-Unis

Fréquentation

En France, la fréquentation des salles en 1994 est moins bonne qu'en 1993 qui était une année record. Les salles françaises reçoivent cette année de 123 millions de spectateurs, soit dix millions de moins que l'année précédente, mais c'est la deuxième meilleure année depuis 1988.

La part des films français sur cette année est de moins de 30%. Les succès les plus importants (Léon, Grosse fatigue, Le Colonel Chabert) ont des résultats inférieurs à la fréquentation espérée. La Cité de la peur est une des rares réelles réussites publiques. L'année compte aussi beaucoup de cuisants échecs publics : Les Patriotes, La Machine, Montparnasse-Pondichéry, Cache cash, La Séparation, Le Sourire... Ces échecs sont d'autant plus surprenants que ce sont souvent ceux de réalisateurs et d'acteurs respectés (Gérard Depardieu, Yves Robert, Claude Pinoteau, Daniel Auteuil, Isabelle Huppert, Claude Miller, Jean-Pierre Marielle...)

À l'inverse, à la mesure de l'économie dans laquelle ils sont produits, des films français et étrangers comme Les Roseaux sauvages, Petits arrangements avec les morts, Délits flagrants, Regarde les hommes tomber, Veillées d'armes : histoire du journalisme en temps de guerre, Lou n'a pas dit non, Journal intime ou Ladybird ont obtenu de véritables succès publiques en France.

Naissances

Principaux décès

Premier trimestre

Deuxième trimestre

Troisième trimestre

Quatrième trimestre

Notes et références

  1. a b c d e f g et h Jean-Michel Frodon, « Le bilan de la production française en 1994 nourrit inquiétudes et mécontentements. Pourtant, le millésime n'a pas été mauvais, avec 123 millions de spectateurs, mais il a mis en évidence quelques échéances cruciales », Le Monde,‎ (lire en ligne)