Cet article abordera la question de 212, qui est devenue un sujet d'une grande importance aujourd'hui. Depuis quelques années, 212 suscite un grand intérêt dans différents domaines, faisant l'objet de débats, d'analyses et de réflexions d'experts et d'universitaires. Son influence et son impact sur la société actuelle ont donné lieu à de nombreuses études, recherches et projets qui lui sont consacrés dans divers domaines, cherchant à comprendre ses multiples facettes et effets. Cet article vise donc à explorer et à approfondir les différentes dimensions qui entourent 212, afin d’offrir une vision large et complète de ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
Le jurisconsultePapinien, préfet du prétoire, est mis à mort par Caracalla ainsi que de nombreux suspects pour avoir refusé de faire l’apologie du meurtre de Geta.
Constitution Antonine : Caracalla promulgue un édit accordant le droit de cité, c’est-à-dire la citoyenneté romaine à tout habitant libre de l'Empire. Caracalla continue la politique de son père en s’appuyant sur les jurisconsultes. L'édit de 212, en augmentant le nombre de citoyens imposables, permet d'augmenter les recettes fiscales.
11 juillet : Papyrus Giessen 40. Il comporte une copie de l'Édit de Caracalla et un décret accordant une amnistie à la suite de la mort de Géta.
↑ a et bChristian Bonnet et Bertrand Lançon, L'Empire romain de 192 à 325 : du Haut-Empire à l'Antiquité tardive, Éditions Ophrys, , 251 p. (ISBN978-2-7080-0851-9, présentation en ligne)