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Bailli conventuel

Dans cet article, nous explorerons tous les aspects liés à Bailli conventuel, de son origine à son impact sur la société actuelle. NOUS examinerons les différentes théories et études qui ont contribué à notre compréhension de Bailli conventuel, ainsi que leur pertinence dans divers contextes, de l'économie à la culture populaire. Nous aborderons également les implications éthiques et morales associées à Bailli conventuel, et comment celles-ci ont influencé la manière dont ce sujet est traité aujourd'hui. Grâce à une analyse complète, nous chercherons à comprendre le rôle important que Bailli conventuel a joué tout au long de l'histoire et comment il continue de façonner notre monde actuel.

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Un bailli conventuel était un dignitaire de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui pouvait être soit un « bailli » soit un « pilier ».

Bailli

Un bailli conventuel existe dans l'ordre des Hospitaliers dès la période où il résidait en Terre sainte. Les baillis conventuels faisaient partie des prudhommes, membre du « conseil particulier » du supérieur de l'Ordre et plus tard du grand maître. Grands officiers du couvent, leur rôle est d'assister le supérieur de l'Ordre dans ses décisions mais aussi de le contrôler dans ses actes[1].

Les piliers

Dans les statuts de l'Ordre de 1330, le chapitre général de Montpellier, décide de nommer, parmi les frères les plus éminents, huit baillis conventuels pour une durée de dix ans avec responsabilité de grand-commandeur, maréchal, drapier, hospitalier, amiral, turcoplier, trésorier et prieur de l'église de Rhodes[1]. La réforme de 1340, attribue au pilier de chaque langue le titre de bailli avec des fonctions qui seront immuables :

Ce n'est qu'en 1428, que l'office de grand bailli est créé pour le pilier de la langue d'Allemagne. En 1462, la partition entre, d'un côté, les Castillans et les Portugais, et de l'autre, les Aragonais et les Catalans, oblige à la création de l'office de grand chancelier pour la nouvelle langue de Castille, celui de drapier restant à la langue d'Espagne[1]. Après 1462, la répartition des fonctions est alors la suivante :

Référencement

Notes et références

  1. a b et c Bériou et Josserand 2009, p. 137

Sources