Tu banner alternativo

Emek Hefer

Aujourd'hui, nous entrons dans le monde fascinant de Emek Hefer. Tout au long de l'histoire, Emek Hefer a suscité l'intérêt et la curiosité d'innombrables personnes, que ce soit en raison de son impact sur la société, de son importance dans la sphère culturelle ou de sa pertinence dans différents aspects de la vie quotidienne. À travers cet article, nous visons à explorer et analyser en profondeur tous les aspects liés à Emek Hefer, depuis ses origines jusqu'à ses éventuelles implications dans le futur. Nous approfondirons ses multiples facettes, en révélant son importance et sa valeur dans le contexte actuel, dans le but de fournir à nos lecteurs une vision complète et enrichissante de ce sujet passionnant.

Tu banner alternativo

Emek Hefer
מועצה אזורית עמק חפר
Emek Hefer
Le siège du conseil régional d'Emek Hefer
Administration
Pays Drapeau d’Israël Israël
District Centre
Président du conseil Rani Eden
Démographie
Population 41 894 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 32° 20′ 35″ nord, 34° 54′ 59″ est
Divers
Date de création 1940
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Israël
Voir sur la carte topographique d'Israël
Emek Hefer
Géolocalisation sur la carte : Israël
Voir sur la carte administrative d'Israël
Emek Hefer
Liens
Site web http://www.hefer.org.il/

Le conseil régional d'Emek Hefer, en hébreu : מועצה אזורית עמק חפר, est situé dans la plaine de Sharon, à proximité d'Hadera et de Netanya, dans le district centre en Israël. Sa population s'élève, en 2016, à 41 894 habitants.

Histoire

Le village de Palestine mandataire

Emek Hefer est le nom hébreu du village arabe palestinien Wadi al-Hawarith (arabe : وادي الحوارث).

Dans les années 1920 le terrain appartenait à la famille chrétienne d'origine libanaise Tayyan. Le Fonds National Juif l'acheta en 1929, avec une garantie apportée par des Canadiens sionistes d'un million de dollars ; les membres de la famille Tayyan étaient dispersés entre le Caire, Jaffa et Buenos Aires au moment de la vente. C'était le troisième territoire en superficie acquis en Palestine mandataire par le Fonds national juif, et un haut lieu de la culture des agrumes, qui avait par conséquent une grande valeur économique[1].

Des Bédouins y vivaient depuis un siècle ; malgré l'acte de vente ils refusèrent de quitter ce territoire. Le long combat juridique qui conduisit à l'expulsion des Bédouins en 1933 fut largement médiatisé et contribua à accroître le degré de mobilisation des associations palestiniennes[1].

Le camp de transit après 1948

Un camp de transit (en hébreu ma'abara) accueillant principalement des juifs yéménites y a été établi peu après 1948. Il a été le théâtre d' émeutes et de heurts violents entre les résidents du camp et la police en , dont a rendu compte le journal Haaretz[2]. Les relations tendues entre la ma'abara et les kibboutz voisins ont été la cause directe de l'intervention des forces de l'ordre[3], les raisons profondes tenant aux discriminations dont étaient victimes les juifs mizrahim (orientaux) en Israël[4].

Liste des communautés

Kibboutzim
Moshavim
Localités communautaires
Villages de jeunes

Références

  1. a et b Confronting an Empire, Constructing a Nation: Arab Nationalists and Popular Politics in Mandate Palestine, Par Weldon Matthews, I.B. Tauris, London, New York, 2006, p.189, lire en ligne :
  2. "The Forgotten Ones", lire en ligne :
  3. Un garde d'un kibboutz a maltraité une vieille femme de la ma'abara d'Emek Hefer qui était en train de recueillir des mauvaises herbes pour sa chèvre; tel est le point de départ des émeutes, lire en ligne : http://jewishjournal.com/cover_story/189259/
  4. lire en ligne :

Voir aussi

Ma'abarot

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Source de la traduction