Dans cet article, nous explorerons le sujet de Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698) sous différentes perspectives dans le but d'analyser et de comprendre son importance dans la société actuelle. Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698) est un sujet d'une grande actualité aujourd'hui, car il impacte de nombreux aspects de la vie quotidienne et joue un rôle fondamental dans le développement personnel, professionnel et social. Grâce à une analyse détaillée, nous aborderons les différentes facettes de Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698), en examinant ses implications, ses défis et ses opportunités. De même, nous approfondirons les recherches et les études qui offrent un aperçu plus approfondi de Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698) et de son influence dans différents contextes. Nous espérons que cet article fournira une perspective enrichissante et stimulante sur Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698), encourageant le débat et la réflexion sur ce sujet très pertinent.
Ernest-Auguste (20 novembre 1629 ( dans le calendrier grégorien), Herzberg – 23 janvier 1698 ( dans le calendrier grégorien), Herrenhausen) est duc de Brunswick-Lunebourg et prince de Calenberg de 1679 à sa mort.
En 1692, l'empereur Léopold Ier l'élève au rang d'électeur. Il prend alors la tête du nouvel électorat de Brunswick-Lunebourg.
Quatrième fils de Georges de Brunswick-Calenberg et d'Anne-Éléonore de Hesse-Darmstadt, Ernest-Auguste semble n'avoir guère de chances de succéder un jour à son père. En 1662, il est nommé par son frère évêque d'Osnabrück. En effet, selon les traités de Westphalie de 1648, la principauté épiscopale d'Osnabrück doit être occupé en alternance par un évêque catholique et un évêque protestant nommé par les ducs de Brunswick-Lunebourg.
Ses trois frères aînés décèdent sans héritiers mâles et Ernest-Auguste devient prince de Calenberg en 1679. En 1688, à la suite des protestations de ses fils, il instaure la primogéniture, afin qu'après son décès, aucune division n'entame ses possessions.
Ernest-Auguste s'illustre lors de la guerre austro-turque aux côtés de l'empereur Léopold Ier. En récompense de ses services, il reçoit la dignité électorale en 1692. Cependant, ce titre n'est reconnu par la Diète qu'en 1708, après la mort d'Ernest-Auguste.
En 1658, Ernest-Auguste épouse Sophie (1630-1714), fille de l'électeur Frédéric V du Palatinat. Sept enfants sont issus de cette union :
Il a une fille illégitime, Sophie de Kielmansegg (en) de sa liaison avec Clara Elisabeth von Platen.