Dans cet article, nous allons explorer In varietate concordia, un sujet qui a récemment suscité l'intérêt de nombreuses personnes. In varietate concordia est une source de débat et de discussion dans la société actuelle et a un impact important sur divers aspects de la vie quotidienne. Tout au long de cet article, nous examinerons différentes perspectives et opinions sur In varietate concordia, ainsi que sa pertinence pour notre culture, notre histoire et notre avenir. Avec un regard critique et réflexif, nous tenterons de faire la lumière sur ce sujet si actuel aujourd’hui, en proposant différentes approches et arguments qui invitent à la réflexion et au débat.
« In varietate concordia » (en français : « Unie dans la diversité ») est la devise de l'Union européenne.
D'après la Commission européenne, « cette devise signifie que, au travers de l'Union européenne, les Européens unissent leurs efforts en faveur de la paix et de la prospérité, et que les nombreuses cultures, traditions et langues différentes que compte l'Europe constituent un atout pour le continent. »
La devise a d'abord été choisie selon un processus non officiel. Patrick La Prairie, du quotidien Ouest-France propose, en 1998, l'organisation d'un concours de devises européennes à destination des classes de l'enseignement secondaire des quinze États membres, dans l'intention de proclamer la nouvelle devise à l'occasion du cinquantenaire de la déclaration du de Robert Schuman.
Au niveau national, les médias partenaires ont été invités à sélectionner dix devises, qui ont été soumises à un jury européen réuni au Mémorial de Caen les et . Ce jury choisit alors sept devises,. Ces devises ont été soumises à un grand jury placé sous la direction de Jacques Delors et composé d'une personnalité pour chacun des quinze États membres. Le jury s'est réuni le au matin. La devise sélectionnée a le même jour été remise à Nicole Fontaine, alors présidente du Parlement européen, lors d'une cérémonie au Parlement. La devise retenue est « L'unité dans la diversité » (« In varietate concordia »).
En 2004, la devise est intégrée au traité établissant une Constitution pour l'Europe (traité de Rome), dont l'article I-8 énumère les différents symboles de l'Union européenne. La forme française est alors légèrement différente : « Unie dans la diversité ». Mais ce traité n'est finalement pas ratifié.
En 2007, le traité modificatif (traité de Lisbonne) ne contient aucun article mentionnant les symboles de l'Union. Il reprend en effet de nombreux éléments du traité de 2004, mais pas les articles pouvant assimiler l'Union à un État fédéral comme ceux définissant les symboles européens : drapeau, hymne, devise.
Ces derniers continuent cependant à exister, puisque dans l'acte final du traité, 16 des 27 États membres (Belgique, Bulgarie, Allemagne, Autriche, Grèce, Espagne, Italie, Chypre, Lituanie, Luxembourg, Hongrie, Malte, Portugal, Roumanie, Slovénie et Slovaquie) déclarent :
« Le drapeau représentant un cercle de douze étoiles d'or sur fond bleu, l'hymne tiré de « l'Ode à la joie » de la Neuvième symphonie de Ludwig van Beethoven, la devise « Unie dans la diversité », l'euro en tant que monnaie de l'Union européenne et la Journée de l'Europe le 9 mai continueront d'être, pour eux, les symboles de l'appartenance commune des citoyens à l'Union européenne et de leur lien avec celle-ci. »
La devise de l'Union européenne, initialement « In varietate concordia » en latin, a été traduite dans les 23 langues qui étaient officielles dans l'Union européenne à la date de rédaction du traité de Rome (en 2004) puis dans les langues des nouveaux pays ayant adhéré à l'Union européenne :
Des traductions dans les langues officielles des pays candidats à l'entrée dans l'Union européenne sont élaborées, soit à l'initiative de l'Union européenne, soit par les États candidats :