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Jean-Louis Sanchez | |
Portrait de Jean-Louis Sanchez, en 2013 | |
Fonctions | |
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Délégué général de l'Observatoire national de l'action sociale | |
Président du Collectif Appel à la Fraternité | |
Directeur de publication du journal de l'action sociale et du développement social | |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Boghari, Algérie |
Nationalité | Français |
Profession | Spécialiste en sciences politiques |
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Jean-Louis Sanchez est fondateur et délégué général de l’Observatoire national de l'action sociale décentralisée, politologue, auteur de nombreux ouvrages sur le développement économique et social, la décentralisation et la crise, il s’est engagé depuis de nombreuses années dans la défense du lien social et du Vivre-Ensemble. À ce titre, il lance notamment en 1999 un appel à la fraternité pour inviter, à la veille d’un nouveau millénaire, à une mobilisation générale contre l’effacement des repères et le délitement du lien social.
Cet appel, largement soutenu alors que bien peu médiatisé, est à l’origine de la promotion de la Fraternité comme Grande Cause nationale en 2004, par décret de Jean-Pierre Raffarin,,, donnant lieu à une forte implication des maires des grandes villes de France (Paris, Marseille, Bordeaux) dont les deux tiers signeront une charte de la Fraternité.
Ce souci de contribuer à la consolidation du Vivre-Ensemble par la pédagogie et la démonstration des faits, tout particulièrement en période de crise, l’a en outre conduit à créer le journal de l’Action sociale et du développement social ainsi que l’Institut national du développement social.
Né le , à Boghari en Algérie, Jean-Louis Sanchez y vit durant une vingtaine d’années avant de rejoindre l’Hexagone en 1965. Ses premiers pas dans la vie sont influencés par l’expérience de ses parents ayant dû quitter l’Espagne à la suite du coup d'État qui conduira le général Francisco Franco au pouvoir. Marchant sur les traces de son père, il commence alors ses études universitaires de droit à Alger tout en collaborant à la rédaction de la rubrique cinéma du journal Alger républicain.
Son premier métier est consacré à l’enseignement primaire puis secondaire dans des écoles catholiques en Algérie. Et lorsqu’il quitte l'Algérie pour s’établir en France, il termine ses études pour enseigner à la Faculté de droit de Limoges entre 1968 et 1975. Soucieux de diversifier son expérience, il quitte l’enseignement pour se consacrer à des fonctions d’encadrement dans des collectivités locales avec comme dernière responsabilité celle de la direction de la solidarité du Conseil général de la Haute-Vienne. C’est cette double filiation professionnelle qui l’amène à fonder en 1990 l’Observatoire de l’action sociale.
En effet, ses diverses expériences professionnelles et sa vision de la fragilité de notre société ont persuadé Jean-Louis Sanchez de la nécessité d’un lieu d’expertise, qui par sa neutralité et son attachement aux valeurs fondamentales de notre pays, apporte une dimension plus opérationnelle à la nécessaire adaptation de la réponse publique.
Un intérêt manifesté par les édiles locaux le conduit à rédiger un ouvrage intitulé La République des maires pour les inciter à la mise en œuvre d’ateliers du Vivre-Ensemble.
Une vision anthropologique des besoins sociaux qui convaincra Jean-Louis Sanchez de s’engager dans la réhabilitation du triptyque républicain dans ses trois dimensions afin d’éviter que la liberté et l’égalité génèrent un excès d’individualisme, de consumérisme au détriment du lien social.
En 1999, le lancement d’un premier appel à la Fraternité sensibilisent des personnalités aussi diverses que Jean-Paul Delevoye,Patrick Braouezec ou l'Abbé Pierre, ouvrant ainsi la voie à plusieurs centaines de signataires.
Jean-Louis Sanchez : La Fraternité n'est pas une utopie () France Info. Consulté le .