La Captive aux yeux clairs

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La Captive aux yeux clairs

Titre original The Big Sky
Réalisation Howard Hawks
Scénario Dudley Nichols d'après le roman d'A. B. Guthrie
Acteurs principaux
Sociétés de production RKO Pictures
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Western
Durée 121 minutes
140 minutes (version longue)
Sortie 1952

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Captive aux yeux clairs (The Big Sky) est un film américain de Howard Hawks, réalisé en 1952.

Synopsis

Missouri, 1832. Jim Deakins se lie d'amitié avec Boone Caudill. En compagnie de l'oncle de ce dernier, ils se joignent à une expédition de trappeurs vers le Haut Missouri chez les Indiens Pieds-Noirs. Teal Eye, princesse indienne (Gazelle dans la version française), est présente à bord du Mandan, afin de rejoindre son peuple tout en facilitant les échanges commerciaux. Une rivalité amoureuse s'installe entre les deux hommes.

Fiche technique

Distribution

Légendes : Doublage original (1953) / doublage des scènes supplémentaires (sortie DVD)

Acteurs non crédités

Commentaires

The Big Sky est le deuxième western de Howard Hawks. Quatre ans après La Rivière rouge (1948), épopée sur la Chisholm Trail et le convoyage des troupeaux du Texas, le réalisateur remonte le temps et le Missouri pour conter le périple du Mandan et de son équipage jusqu'au pieds des Rocheuses en pays Pieds-Noirs en 1832. Le film est l'histoire d'une amitié, mise en danger par les sentiments amoureux pour une femme. C'est aussi un hymne à la nature, au rythme nonchalant, aussi languide que la rivière. La Rivière rouge et La Captive aux yeux clairs seront les deux westerns du cinéaste illustrant la conquête territoriale, investissant les « grands espaces », avant les variations chambristes de la trilogie constituée par Rio Bravo (1958), El Dorado (1967) et Rio Lobo, dernier film du réalisateur (1970).

Le film s'inspire assez librement du roman éponyme d'A. B. Guthrie, prix Pulitzer en 1947.

Le film est une commande de Howard Hughes, le directeur de la RKO, troisième studio américain qui se trouve alors en difficulté. Le producteur veut réitérer la réussite de La Rivière rouge avec un nouveau fait historique de la conquête de l'ouest porté pour la première fois à l'écran. Si le film démarre très bien dans les salles, la RKO décide soudain d'en couper douze minutes pour pouvoir placer plus de séances. Une décision qui entraîne une défection du public et fait de The Big Sky un nouvel échec commercial qui précipite le déclin du studio.

Notes et références

C'est l'unique film de la comédienne Elizabeth Threatt, mannequin de profession et dont le père était un indien Cherokee.

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