Aujourd'hui, Liste des chefs de l'exécutif par État en 2011 est un sujet qui est sur toutes les lèvres et présent dans de multiples domaines de la société. Sa pertinence a augmenté de façon exponentielle ces dernières années, générant des débats, des controverses et un grand intérêt de la part des experts et du grand public. Liste des chefs de l'exécutif par État en 2011 est une problématique qui nous concerne tous, puisqu'elle impacte directement ou indirectement nos vies. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Liste des chefs de l'exécutif par État en 2011, en analysant ses implications, ses conséquences et ses solutions possibles. Nous sommes confrontés à un problème qui mérite d’être abordé sous différents angles, afin de le comprendre dans sa globalité et de trouver des alternatives pour y répondre de la meilleure façon possible.
La liste des chefs de l'exécutif par État en 2011 s'appuie sur la liste des pays du monde et sur la liste des dirigeants des États, telles qu'elles étaient connues du 1er janvier au . La liste principale comptait alors 192 pays internationalement reconnus par l'ONU, plus le Vatican. Des listes additionnelles concernent : les États partiellement reconnus par la communauté internationale, les territoires indépendants de fait, les territoires autonomes ou à administration spéciale et les gouvernements alternatifs ou en exil.
Les chefs de l'exécutif des États exerçant une pleine souveraineté sont principalement les chefs d'État et les chefs de gouvernement :
Un chef d'État est une personne physique, parfois une personne morale, qui représente symboliquement la continuité et la légitimité de l'État. Diverses fonctions lui sont traditionnellement rattachées : représentation extérieure, promulgation des lois, nomination aux hautes fonctions publiques. Selon le pays, il peut être le plus éminent détenteur du pouvoir exécutif effectif, ou au contraire personnifier le pouvoir suprême exercé en son nom par d'autres personnalités politiques.
Un chef de gouvernement est une personne physique qui possède le premier ou second rôle de l'exécutif (selon le type de régime politique) et se trouve à la tête du gouvernement c'est-à-dire de l'ensemble des ministres ou secrétaires d'État chargés de responsabilités exécutives.
Dans le cas de territoires autonomes et autres collectivités non souveraines c'est-à-dire dépendant d'un État suzerain, les titres de chef de l'exécutif local sont divers : préfet, bailli, gouverneur, président, etc.
Territoires britanniques d'outre-mer et dépendances de la Couronne britannique
Un Territoire britannique d'outre-mer (en anglais, United Kingdom Overseas Territory, anciennement appelé Dependent Territory et plus tôt encore une colonie de la Couronne Crown colony) est l'un des 14 territoires qui trouve sous la souveraineté et le contrôle formel du Royaume-Uni mais qui n'est pas une partie du Royaume proprement dit (Grande-Bretagne et Irlande du Nord). Ils sont les vestiges de l'Empire britannique qui n'ont pas accédé à l'indépendance ou qui ont voté pour rester territoires britanniques.
Une Dépendance de la Couronne (en anglais Crown dependency) désigne les territoires qui sont possession de la Couronne britannique sans pour autant être rattachés au Royaume-Uni (et donc à l’Union européenne), au contraire des territoires britanniques d’outre-mer.
↑Un État ou un dirigeant, apparu ou disparu au cours de l'année 2011, sera donc mentionné dans la liste.
↑Président de l’administration intérimaire jusqu’au 19 juin 2002.
↑Le régime est parlementaire, mais les fonctions de chef du gouvernement et de chef de l'État se confondent sous le titre de président de la République d'Afrique du Sud. Ce dernier est élu par le parlement.
↑Le président de la République d'Angola est à la fois à la tête de l'État et du gouvernement angolais ; il existe un poste de Premier ministre, mais le pouvoir de ce dernier est très limité et son abolition effective est prévue pour 2012.
↑Le président du Botswana est à la fois le chef de l'État et le chef du gouvernement.
↑Contrairement à la tradition politique botswanais qui veut que le vice-président devienne président, le nouveau président Seretse Ian Khama a indiqué, lors de son inauguration le , que Mompati Merafhe ne deviendra pas président en 2018.
↑Il est également Ministre des Affaires étrangères et Ministre de la défense
↑Président du Front populaire (et « chef de l’État » à partir du 31 octobre 1987) jusqu’au 24 décembre 1991.
↑Le Burundi est une république multi-partite à régime présidentiel où le président occupe les charges de chef de l'État et chef du gouvernement.
↑Les postes de vice-présidents de la République sont créés en juin 1998 avec l'entrée en vigueur de la constitution transitoire. Ils remplacent le poste de Premier ministre.
↑Président du conseil des ministres jusqu’au 2 juillet 1993, co-Premier ministre du 2 juillet au 21 septembre 1993 et second premier ministre du 21 septembre 1993 au 30 novembre 1998. S’est vu attribuer le titre honorifique de « Sâmdech » par le roi Sihanouk en 1993.
↑Auparavant, premier ministre du 30 juin 1975 au 6 novembre 1982.
↑Le Chili est une république depuis son indépendance en 1810 ; depuis 1826, un président de la République est à la tête de l’État et du gouvernement.
↑Le gouvernement de Chypre ne comprend ni vice-président, ni premier ministre, ni vice-premier ministre.
↑Précédemment Vice-président de l'Union du 26 mai 2006 au 26 mai 2011.
↑Précédemment Premier Ministre de la République des Comores de décembre 1997 jusqu'en mai 1998.
↑Contrôle du pouvoir de facto depuis le 15 octobre 1997. Précédemment un des 11 membres du Comité militaire du Parti du travail congolais (présidence collégiale en place du 18 mars au 3 avril 1977) et président du 8 février 1979 au 31 août 1992 (« chef de l’État » jusqu’au 14 août 1979).
↑La succession de Kim Jong-il a été préparée de son vivant. Comme son père avant lui, Kim Jong-un, connu du public depuis 2008, est devenu dirigeant de facto le jour de la mort de son père, même s'il n'a succédé officiellement aux postes qu'il occupait qu'en avril 2012. Cependant, depuis 1998, Kim Il-sung, mort le 8 juillet 1994, s’est vu attribuer le titre posthume de « président éternel ».
↑Déclaré comme étant « le plus haut poste de l’État » le 5 septembre 1998.
↑Fonctions cérémoniales de chef d’État uniquement.
↑Le Costa Rica est une république multipartite à régime présidentiel, où le président est à la fois chef de l’État et chef du gouvernement.
↑Reconnu vainqueur de l’élection présidentielle de 2010 par la Commission électorale indépendante et l’ONU. Premier ministre du 7 novembre 1990 au 11 décembre 1993.
↑Depuis le 1er janvier 1959, Fidel Castro est le dirigeant de facto du pays avec l’appellation de Commandant en chef de la révolution cubaine, « titre créé pour lui durant la période insurrectionnelle qui devait aboutir à la révolution de 1959 ». Le 19 février 2008, dans la perspective du renouvellement de l’exécutif par la nouvelle assemblée, il déclare : « Je n’aspirerai ni n’accepterai - je répète - je n’aspirerai ni n’accepterai la charge de président du Conseil d’État et de commandant en chef. » Cependant, à la présidence du Conseil d’État le 24 février suivant, « Dans son premier discours de chef de l'État, Raul Castro a pris soin de souligner qu'il continuerait à consulter Fidel Castro, qui a renoncé à ses fonctions mardi en raison de son fragile état de santé - sur les grandes décisions de l'État. "Le mandat de cette administration est clair (...) continuer à renforcer la révolution à un moment historique", a-t-il dit. Il a ajouté qu'il acceptait le poste à condition que Fidel Castro demeure "commandant en chef de la révolution" (...) "Fidel est Fidel. Fidel est irremplaçable, on poursuivra son œuvre lorsqu'il ne sera plus physiquement présent." » Il n’est pas à exclure que Fidel Castro reste influent sur les affaires, tel Deng Xiaoping, considéré comme le dirigeant de la Chine de la fin des années 1970 au début des années 1990 bien qu’il ne détenait aucune fonction officielle. En outre, « Dimanche, Raul Castro, dans son discours d'investiture, a fait voter le principe de la "consultation" de son aîné Fidel, 81 ans, désormais reclus dans un hôpital en raison de sa santé défaillante, sur toute décision "spécialement importante" en matière de défense, de politique étrangère ou d'économie, soit les dossiers majeurs de Cuba. »
↑Vice-président de la République arabe d'Égypte (1975-1981) au moment de l'assassinat du président de la République Anouar el-Sadate en octobre 1981, il lui succède au poste de chef de l'État et se présente à la présidence de la République, élection qu'il remporte le 14 octobre1981. Il reste au pouvoir jusqu'à sa démission le , conséquence de la Révolution populaire égyptienne.
↑L'Équateur est une république multipartite à régime présidentiel, où le président est à la fois chef de l'État et chef du gouvernement.
↑Le gouvernement de l’Érythrée est dirigé par le Président de l'État.
↑Secrétaire général du gouvernement provisoire jusqu’au 24 mai 1993.
↑Mahmud Ahmed Sherifo critique la politique du président érythréen Afeworki lors d'une interview en mai 2001 ; il lance le mouvement de contestation qui mènera à la "lettre des 15". Il est arrêté le 15 septembre 2001 ; il serait mort en détention en 2003.
↑Auparavant, président par intérim du 28 mai 1991 au 22 août 1995.
↑Par intérim jusqu’au 5 novembre 2009 (faisant fonctions pour Ratu Josefa Iloilovatu jusqu’en septembre 2009).
↑Précédemment président par intérim du 5 décembre 2006 au 4 janvier 2007 et premier ministre par intérim du 5 janvier 2007 au 9 avril 2009.
↑Président du Conseil de commandement provisoire des forces armées jusqu’au ; Chef de l’État jusqu’au .
↑Précédemment du 25 janvier 2004 au 25 novembre 2007.
↑Le Guatemala est une République présidentielle multipartite. Les élections législatives et présidentielles ont lieu tous les 4 ans en même temps. Le président est à la fois le chef de l'État et le chef du gouvernement. Le président et les ministres qu'il nomme sont à la tête du pouvoir exécutif.
↑Le , Otto Pérez Molina est élu président ; il doit prendre ses fonctions le .
↑Précédemment président par intérim du 14 mai 1999 au 17 février 2000.
↑Précédemment premier ministre du 9 octobre 1992 au 17 mars 1997 et du 22 décembre 1997 au 9 août 1999.
↑Précédemment du 7 février 1996 au 7 février 2001.
↑Porfirio Lobo Sosa dit Pepe Lobo n'a été reconnu explicitement ni par l'Union européenne, ni par le Mercosur ainsi que la plupart des pays d'Amérique latine. Les États-Unis, Panama et la Colombie ont reconnu le nouveau président tandis que d'autres pays tels le Venezuela contestent la légitimité du scrutin
↑Précédemment premier ministre du 22 avril au 21 juin 1977 (intérim), du 14 septembre 1984 au 20 octobre 1986 et du 4 novembre 1995 au 18 juin 1996 (par intérim jusqu’au 22 novembre).
↑Premier secrétaire du Parti communiste de la RSS du Kazakhstan du 22 juin 1989 au 28 août 1991 et président du Soviet suprême de cette même république du 22 février au 24 avril 1990. La République du Kazakhstan s’est constituée le 10 décembre 1991 et a succédé à la RSS du Kazakhstan ; le 16 du même mois, elle déclarait son indépendance ; le 25, celle-ci était finalisée par la dissolution de l’URSS. Nazarbaïev fût également président du conseil des ministres de la RSS du Kazakhstan du 22 mars 1984 au 27 juillet 1989.
↑Présidente du gouvernement provisoire jusqu’au 19 mai 2010.
↑Précédemment du 29 mars au 28 novembre 2007 (par intérim jusqu’au 30 mars 2007).
↑Teima Onorio occupa le poste de vice-présidente de la République des Kiribati une première fois de 2003 à 2007, avant d'y être reconduite à partir du .
↑Premier ministre du 13 juillet 2003 au 7 février 2006.
↑Le gouvernement présente sa démission le 16 mars 2009.
↑Précédemment du 12 novembre 1990 au 25 janvier 1995.
↑Le 25 janvier 2011, Najib Mikati est chargé de former un gouvernement.
↑Précédemment du 3 novembre 1999 au 26 octobre 2000.
↑Le 17 mars 2009, le président Marc Ravalomanana démissionne et transfère, par ordonnance présidentielle, les pleins pouvoirs à un directoire militaire présidé par le vice-amiral Hippolyte Ramaroson. Le jour-même, les généraux de l'armée décident, par ordonnance, de transférer le pouvoir à Andry Rajoelina. Rajoelina s’était déclaré « en charge » de la République dès le 31 janvier 2009 et « président de la Haute Autorité de transition » (en opposition à Ravalomanana) dès le 7 février suivant.
↑Joyce Banda est la première femme à occuper le poste de vice-présidente du Malawi.
↑Le Président est le chef de l'État et le chef du gouvernement de la République des Maldives. Il est élu tous les cinq ans par le parlement.
↑Précédemment du 26 mars 1991 au 8 juin 1992 (président du Conseil de réconciliation nationale jusqu’au 31 mars 1991, puis président du Comité de transition pour le salut du peuple).
↑Les Îles Marshall sont une république présidentielle, où le président est à la fois chef de l'État et chef du gouvernement.
↑Précédemment, président du Haut Conseil d’État (6 août 2008 - 15 avril 2009).
↑Il n'y a pas de vice-président ni de Premier ministre ni de chef de cabinet ; en cas de démission ou de décès du président, le Congrès de l'Union désigne un président intérimaire.
↑Tsakhiagiyn Elbegdorj fut précédemment premier ministre de Mongolie du au et du au .
↑Précédemment président par intérim du au et premier ministre du au .
↑Précédemment membre de la présidence collégiale intérimaire constituée par le bureau politique du comité central du Front de libération du Mozambique (FRELIMO) ( - ).
↑Le Président de Nauru est le chef de l'exécutif, à la fois chef de l'État et chef du gouvernement, de la République de Nauru. Ses fonctions sont définies par la Constitution promulguée le , lors de l'indépendance du pays vis-à-vis de l'Australie.
↑Auparavant, membre de la Junte gouvernementale de reconstruction nationale du au (coordinateur à partir du ) et président du au .
↑Régence du prince Haakon du 25 novembre 2003 au 13 avril 2004 et du 29 mars au 7 juin 2005.
↑Précédemment premier ministre du 17 mars 2000 au 19 octobre 2001.
↑Premier secrétaire du Parti communiste de la RSS d’Ouzbékistan du 23 juin 1989 au 3 novembre 1991.
↑Michael Ogio fut d'abord Gouverneur général de Papouasie-Nouvelle-Guinée par intérim jusqu’au .
↑Le président du Paraguay est à la fois le chef de l'État et le chef du gouvernement. Le président et le vice-président sont élus pour un mandat de 5 ans. Le président choisit après l'élection les membres de son cabinet.
↑Précédemment à la tête de l’État (en opposition au président Abdullahi Yusuf Ahmed) en tant que président de l’Union des tribunaux islamiques du 5 au 29 juin 2006, puis à la tête du gouvernement (en opposition au premier ministre Ali Mohamed Gedi) en tant que président du comité exécutif du Conseil suprême islamique de Somalie du 29 juin au 28 décembre 2006.
↑Président du Conseil de commandement révolutionnaire pour le salut national jusqu’au 16 octobre 1993.
↑Premier ministre du 6 avril 2004 au 21 novembre 2005.
↑La présidence suisse est collégiale. Voir Liste des membres secondaires des exécutifs.
↑Précédemment président du Conseil militaire national (dirigeant de facto du pays) du 25 février 1980 au 25 janvier 1988 et faisant fonctions de président (en tant que commandant de l’armée nationale) du 13 au 15 août 1980 et du 4 au 8 février 1982.
↑Premier ministre du 26 juin 2006 au 19 mai 2007 (par intérim jusqu’au 10 juillet 2006). En incapacité (blessé par balle) du 11 février au 17 avril 2008 ; intérim assuré par Vicente Guterres (du 11 au 13 février) puis par Fernando de Araújo (du 13 février au 17 avril).
↑Les articles 50-58 de la constitution turkmène de 2008 définissent les pouvoirs du président de la république ; celui-ci est à la fois chef de l'état et chef du gouvernement (art. 50) ; le poste de premier ministre est ainsi supprimé.
↑Précédemment, premier ministre du 18 novembre 2002 au 14 mars 2003.
↑Premier ministre du 21 novembre 2002 au 5 janvier 2005 (intérim de Mykola Azarov du 7 au 28 décembre 2004) et du 8 septembre 2005 au 4 août 2006 (par intérim jusqu’au 22 septembre 2005).
↑Précédemment du 7 au 28 décembre 2004 (faisant fonctions pour Viktor Ianoukovitch) et du 5 au 24 janvier 2005 (intérim).
↑Comme doyen du Collège cardinalice (en tant que cardinal Ratzinger) et conjointement avec le cardinal camerlingue Eduardo Martínez Somalo, a assuré l’intérim à la tête de l’État du 2 au .
↑N’exerce son contrôle qu’en Cisjordanie. Ismaïl Haniyeh, qui était premier ministre depuis le 14 mars 2006 et qui a été limogé le 14 juin 2007, conteste la légitimité du gouvernement Fayyad et continue à se considérer comme premier ministre. Haniyeh et le Hamas contrôlent la bande de Gaza.
↑La RASD est actuellement reconnue par plusieurs dizaines de pays. Elle ne contrôle qu’une faible partie du territoire. Le Maroc contrôle de fait la majeure partie du territoire et le revendique dans sa totalité.
↑Président du Conseil de commandement révolutionnaire jusqu’au 16 octobre 1982.
↑La situation juridique de l’Île Clipperton (l’étendue des lois applicables et les compétences des tribunaux) n'a pas toujours été claire. Cependant, la loi de 2007 a considérablement simplifié ces questions en plaçant l’île sous le principe de l'identité législative (et paradoxalement, cette loi rapproche donc cette possession française du régime juridique applicable aux DOM, même si l'île n’a pas de collectivité territoriale compétente, faute de représentant local, sa représentation étant collective par le parlement de la République tout entier devant lequel est responsable le gouvernement qui y en a l'autorité) : la loi indique clairement que les lois et règlements de la République s'y appliquent de plein droit (au contraire des anciens TOM et des COM actuels et autres territoires à statut particulier sui generis, où l'élaboration des lois et règlements se fait en concertation avec les collectivités territoriales locales dotées de compétences législatives spécifiques, à l'exception des questions de souveraineté.
↑ ab et cLes atolls Johnston et Midway, ainsi que d'autres îles qui ont hébergé d'anciennes bases militaires, étaient auparavant administrés par l'United States Navy.
↑L'île Cooper est administrée par l'Office of Insular Affairs
↑ ab et cLe Département des affaires polaires est un service du Ministère de la justice et de la police norvégien.
↑Selon les termes du Traité du Spitzberg, les citoyens de divers pays ont le droit d'exploiter les ressources naturelles de ce territoire « sur un pied d'égalité absolu ».
↑Le Gouverneur de l'archipel de Svalbard, appelé Sysselmann, administre ce territoire, à l'exception de la fiscalité qui dépend des services d'imposition (fylkesskattekontor) et de contentieux (fylkesskattenemnd) du Nord-Troms et des affaires juridiques qui relèvent du tribunal de grande instance (tingrett) de Tromsø.
↑L'Adjarie était anciennement sécessionniste de la Géorgie. Après des manifestations de masse organisées à Batoumi par le mouvement Kmara contre la politique de Aslan Abachidze, celui-ci démissionne le et se réfugie à Moscou ; l’Adjarie est depuis revenue dans le giron de l’État central de Géorgie
↑Le Puntland se considère comme un État autonome au sein de la Somalie. À la différence du Somaliland voisin, il ne recherche pas l’indépendance (quand bien même il est, pour l’instant, indépendant de facto).
↑Président de la République tchétchène d’Itchkérie jusqu’au 7 octobre 2007. Depuis la proclamation de l’indépendance de la Tchétchénie, au début des années 1990, le mouvement indépendantiste tchétchène était divisé entre des nationalistes partisans d’un état laïc et des islamistes ayant la volonté d’appliquer la charia. La rupture est parvenue à son point le plus critique lors de la proclamation de l’Émirat du Caucase par Dokou Oumarov, président de la République tchétchène. Une proclamation rejetée par le ministre des affaires étrangères de la même république de l’époque, Akhmed Zakaïev. L’Émirat du Caucase s’étendrait, notamment, outre la Tchétchénie, sur l’Ingouchie, le Daghestan, l’Ossétie.
↑« Président du cabinet » de la République tchétchène d’Itchkérie. En opposition à Dokou Oumarov et à l’Émirat du Caucase.
↑XIVe dalaï-lama. En exil depuis le 31 mars 1959 (depuis le 1er mai 1960, à Dharamsala, Inde).
Annexes
Articles connexes
Listes chronologiques de chefs d'État et dirigeants nationaux