Littérature victorienne

Aujourd'hui, nous voulons parler de Littérature victorienne. _Var1 est un sujet qui a gagné en importance ces derniers temps, suscitant des débats et suscitant l'intérêt de différents secteurs de la société. Depuis son apparition, Littérature victorienne a retenu l’attention des experts, des universitaires et même du grand public, grâce à son impact et sa pertinence dans différents domaines. Dans cet article, nous allons approfondir les aspects les plus pertinents de Littérature victorienne, en explorant son histoire, son importance actuelle et ses implications pour l'avenir. De plus, nous analyserons différents points de vue et opinions sur le sujet, dans le but d’offrir une vision complète et actualisée de ce sujet passionnant.

Tableau de J. R. Skelton intitulé "Carlyle et Tennyson parlaient et fumaient ensemble.", 1920

L'époque romantique (1760-1840), avec prédominance de la poésie, est suivie de l'époque victorienne (1837-1901). La littérature victorienne privilégie le genre littéraire du roman. Charles Dickens (1812–1870) domine la première partie du règne de Victoria : son premier ouvrage, Les Papiers posthumes du Pickwick Club, est publié en 1836 et son dernier, L'Ami commun, en 1864–5. L'ouvrage le plus connu de William Thackeray (1811–1863) La Foire aux vanités paraît en 1848 et les trois sœurs Brontë, Charlotte (1816–55), Emily (1818–48) et Anne (1820–49) Brontë, publient aussi des œuvres marquantes dans les années 1840. Un roman important est celui de George Eliot (1819–80), Middlemarch (1872), tandis que l'auteur de roman marquant de la fin du règne de Victoria est Thomas Hardy (1840–1928), dont le premier roman, Under the Greenwood Tree, paraît en 1872 et le dernier, Jude l'Obscur, en 1895.

Poètes et écrivains ayant écrit à l'époque victorienne

Liens externes