Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène de Mbam et ses implications dans la société moderne. De ses origines à son impact aujourd’hui, nous aborderons toutes les facettes de ce problème, en analysant ses causes, ses conséquences et les solutions possibles. Dans les lignes suivantes, nous examinerons différentes perspectives et opinions sur Mbam, dans le but d'offrir un aperçu complet et objectif de cette question. Cet article servira de guide informatif et réfléchi à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre Mbam et son influence sur notre environnement.
Mbam | |
Confluence de la Mbam (gauche) à la Sanaga près d'Ebebda | |
Caractéristiques | |
---|---|
Longueur | 425 km |
Bassin | 42 300 km2 |
Bassin collecteur | la Sanaga |
Débit moyen | 710 m3/s (à Goura) |
Régime | pluvial |
Cours | |
Confluence | la Sanaga |
· Coordonnées | 4° 22′ 44″ N, 11° 15′ 50″ E |
Géographie | |
Principaux affluents | |
· Rive gauche | Noun, Ndjim |
Pays traversés | Cameroun |
modifier |
Le Mbam est une rivière d'Afrique qui coule au Cameroun. C'est l'affluent majeur du fleuve Sanaga.
Le débit de la rivière a été observé pendant 30 ans (1951-1980) à Goura, localité du Cameroun située à quelques kilomètres de sa confluence avec la Sanaga.
À Goura, le débit annuel moyen ou module observé sur cette période a été de 710 m3/s pour une surface prise en compte de 42 300 km2, soit la quasi-totalité du bassin versant de la rivière.
La lame d'eau écoulée dans le bassin atteint ainsi le chiffre de 529 millimètres par an, ce qui peut être considéré comme élevé.
Le Mbam est un cours d'eau abondant, très bien alimenté et assez régulier. Le débit moyen mensuel observé en mars (minimum d'étiage) atteint 133 m3/s, soit 14 fois moins que le débit moyen du mois d'octobre, ce qui montre une irrégularité saisonnière réduite. Sur la durée d'observation de 30 ans, le débit mensuel minimal a été de 34 m3/s, tandis que le débit mensuel maximal s'élevait à 2 570 m3/s.