Aujourd'hui, nous voulons plonger dans le monde fascinant de Michel Heller. Quelle que soit l’approche que l’on lui donne, Michel Heller a toujours suscité intérêt et curiosité chez l’humanité. Que ce soit comme sujet d'étude, comme personnage historique ou comme source d'inspiration pour la créativité, Michel Heller a laissé sa marque sur le monde de manière inimaginable. Tout au long de l’histoire, il a fait l’objet de débats, d’analyses et d’admiration, étant considéré comme un point de référence dans différents contextes. Dans cet article, nous explorerons différentes facettes de Michel Heller, en essayant de mettre en lumière son importance et son impact sur différents aspects de la vie humaine.
Naissance | |
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Décès | |
Pseudonyme |
Adam Kruczek |
Nationalités | |
Formation |
Faculté d'histoire de l'université d'État de Moscou (en) |
Activités |
Distinction | |
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Archives conservées par |
La Contemporaine (F delta res 0928, F delta res 0928), |
Michel Heller, à l'état-civil Mikhaïl Iacovlevitch Heller (Михаил Яковлевич Геллер), né le à Moguilev (actuellement en Biélorussie) et mort le à Paris 10e, est un historien français d'origine russe. Il utilise également le pseudonyme d'Adam Kruczek.
Mikhaïl Iacovlevitch Heller est né le dans une famille juive ouvrière de Moscou.
Il fait des études brillantes à la faculté d'histoire de l'université de Moscou entre 1941 et 1945 et soutient sa thèse en 1946 sur l'histoire des relations germano-russes.
En 1950, à peine marié à Génia, une jeune femme polonaise, et père d'un enfant au berceau, il est arrêté par les autorités soviétiques, condamné à 15 ans de travaux forcés et envoyé dans un camp de travail au nord du Kazakhstan. Libéré au terme de six ans en 1956, il émigre en Pologne où il côtoie notamment Andrzej Drawicz et Andrzej Wajda, puis en France, où il écrit toute son œuvre à partir de 1968, tenant également des chroniques dans plusieurs revues, comme la revue polonaise Kultura, dans La Pensée russe ou encore Le Point.
Il est nommé professeur émérite de l'université Paris IV-Sorbonne, où il enseigne jusqu'en 1990.
Il est mort d'une crise cardiaque, le , quelques mois seulement après avoir achevé sa grande Histoire de la Russie et de son empire, fruit de dix années de travail.