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En Belgique, les règles de succession pour le trône sont définies dans plusieurs articles de la Constitution du royaume. L’ensemble de ces lois déterminent les conditions pour lesquelles certains membres de la famille royale peuvent succéder à la fonction de « roi (ou reine) des Belges ».
Avant 1991, la loi salique étant en vigueur, les filles des souverains belges ne pouvaient succéder à leurs pères sur le trône en raison du principe de primogéniture exclusivement masculine dans la descendance du roi Léopold Ier. Mais, depuis son abolition, les femmes peuvent succéder au trône en raison de l’introduction dans la Constitution du principe de primogéniture indifférencié (d’aîné à cadet quel que soit le sexe), à condition qu’elles soient descendantes du prince Albert de Liège (devenu le roi Albert II). Ainsi, à la mort du roi Baudouin, en 1993, la succession s’est ouverte pour la première fois dans l’histoire belge aux princesses issues de la maison royale de Belgique, à savoir Astrid et Maria Laura.
Léopold Ier, roi des Belges → Prince Philippe de Belgique, comte de Flandre → Albert Ier, roi des Belges → Léopold III, roi des Belges → Albert II, roi des Belges
Le roi Philippe, actuel souverain belge, né le , devient le septième roi des Belges lorsque son père Albert II abdique en sa faveur, le . Depuis cette date, l’ordre de succession au trône est le suivant, :