Dans cet article, nous allons explorer en détail le sujet de Pierre Ménard (écrivain, 1969), un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces derniers temps. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Pierre Ménard (écrivain, 1969) a fait l'objet d'études et d'analyses par des experts de diverses disciplines. Tout au long de cet article, nous examinerons les différentes perspectives sur Pierre Ménard (écrivain, 1969), ainsi que sa pertinence dans le contexte historique et culturel. De plus, nous approfondirons des aspects spécifiques qui aideront à mieux comprendre l'importance de Pierre Ménard (écrivain, 1969) aujourd'hui, ainsi que ses implications possibles pour le futur. Préparez-vous à vous plonger dans un voyage fascinant à travers l'univers de Pierre Ménard (écrivain, 1969) !
Pierre Ménard, né Philippe Diaz à Ris-Orangis en 1969, est un écrivain français. Bibliothécaire, il vit et travaille à Paris.
Né en 1969 à Ris-Orangis, Philippe Diaz, dit Pierre Ménard, vit à Paris. Bibliothécaire à la médiathèque de L'Astrolabe à Melun de 1994 à 2016, il travaille ensuite dans les Bibliothèques municipales de la ville de Paris. Il est maître de conférences à SciencesPo. Il mène des ateliers d’écriture et de création numérique.
Il a animé de 2008 à 2015 la revue de création d’ici là, éditée par Publie.net, dont il fait partie du comité éditorial.
Actif sur le web depuis 2005 avec Marelle (revue littéraire) et les podcasts Page 48 (Lectures versatiles), Radio Marelle (La poésie sur écoute), en lisant en écrivant et L'espace d'un instant, il crée le site Liminaire en 2009, qui devient son principal lieu de création.
Parallèlement à son travail d'écriture, il s'est spécialisé dans les ateliers d'écriture auprès de scolaires, mais aussi d'étudiants (École d’ingénieurs ESIEA, École supérieure d'art et de design de Valence, École spéciale d'architecture, Université de Poitiers) et d'enseignants (Comment écrire au quotidien, Publie.net, 2010).
Depuis 2010, il intervient en atelier d'écriture à SciencesPo Paris, dans le cadre des ateliers artistiques du premier cycle.
Marcello Vitali-Rosati évoque le lien de l'auteur avec la ville et ses parcours : « En général, la littérature a toujours eu ce rôle de réappropriation du temps et de mise en question des rythmes et du plein imposés par les normes sociales. La littérature sur le web le fait de façon assez évidente. En particulier, une série d’expériences littéraires en ligne s’approprient la métaphore du parcours-navigation et la réinterprètent. Des topoï comme celui de la flânerie, de la déambulation et – on remonte sur le bateau – de la dérive réapparaissent et s’imposent. »
À propos de Laisse venir, Gilles Bonnet écrit : « Texte et image s'élancent dans une rivalité qui transforme leur alliance autant en une fuite en avant (l'écrit courant désespérément après l'instantané photographique) qu'en une arrivée à bon port. »