Tfaya
Dans l'article d'aujourd'hui, nous explorerons Tfaya, une figure/sujet/événement/etc. qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Au cours des dernières décennies, Tfaya a joué un rôle important dans la société, que ce soit par son influence sur l'art, la politique, la technologie ou tout autre domaine d'intérêt. Dans cette analyse complète, nous examinerons l'impact de Tfaya sur nos vies, ainsi que son évolution au fil du temps. Avec des avis d'experts et des données pertinentes, nous visons à mettre en lumière les différents aspects qui font de Tfaya un sujet d'intérêt général, afin que nos lecteurs puissent mieux comprendre son importance dans le monde d'aujourd'hui.
Cet article est une ébauche concernant la gastronomie et le Maroc.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Tfaya | |
 Assiette de tfaya. | |
| Autre(s) nom(s) | T'faya |
|---|---|
| Lieu d’origine | Maroc
|
| Place dans le service | Garniture |
| Température de service | Chaude |
| Ingrédients | Oignons, raisins secs, cannelle |
| Accompagnement | Couscous |
modifier  |
|
Le tfaya ou t'faya est une préparation culinaire marocaine réalisée principalement à base d'oignons et de raisins secs noirs auxquels s'ajoutent d'autres ingrédients (le miel ou récemment le sucre, et la cannelle moulue).
Présentation
Le nom de t’faya est déjà attesté au Moyen Âge dans le Maghrib al-aqsa (Maroc) et dans al-Andalus ibérique.
C'est une sorte de compote ou de confit d'oignon qui est utilisé dans la majorité des cas comme un accompagnement pour certains types de couscous, appelés saksu b’tfaya (couscous à la tfaya), mais également comme garniture pour quelques tajines dits tadjin b’tfaya (tajine au t’faya),.
Ces préparations aboutissent à un plat sucré-salé souvent confectionné au Maroc.
Variante
Une variante de ce couscous se dit marduma mais aussi saksu madfun et consiste en un couscous enterré ou enfoui, fait à la semoule roulée ou non, avec du bouillon sans légumes, mais toujours avec de l’oignon, de la viande de mouton ou de volaille (poulet, pigeonneau…) ou des abats de poulet.
Notes et références
- Oubahli Mohamed, « Le banquet d’Ibn ‘Ali Masfiwi, lexique, notes et commentaires. Approche historique et anthropologique », Horizons Maghrébins. Le droit à la mémoire, no 59, , p. 114-145 (lire en ligne).
- Lucie Gillot, « Cuisine du Maghreb : quand le design en fait tout un plat ! (interview originale) », Mission d'animation des agrobiosciences, (lire en ligne).
- Nisrine Merzouki, Marrakesh Express, recipes and memories of Morocco, Karl Monger, , 220 p. (lire en ligne).
- Jeff Koehler, Morocco: A Culinary Journey with Recipes from the Spice-Scented Markets of Marrakech to the Date-Filled Oasis of Zagora, Chronicle Books, , 224 p. (lire en ligne).
Annexes
Bibliographie
- Mohamed Oubahli (partie III : Manger au Maghreb), « Entre viande et bouillon, un plat de la cuisine marocaine traditionnelle: le t'faya », Horizons Maghrébins, no 69, , p. 178-196.
