De nos jours, 1341 est devenu un sujet très pertinent dans la société moderne. L'attention s'est concentrée sur cette question en raison de son impact dans divers domaines, de la politique à la culture populaire. Alors que 1341 continue de faire l’objet de débats et de discussions, il est crucial d’analyser en détail ses implications et ses répercussions sur notre vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons les nombreuses facettes de 1341, en examinant son influence dans différents domaines et son évolution au fil du temps. De même, nous aborderons les différentes approches et positions adoptées par les experts et leaders d’opinion sur cette question, afin d’offrir une vision globale et objective.
La ville de Cranganore sur la côte de Malabar en Inde subit une crue du fleuve Periyar rendant son port, actif depuis deux millénaires avec le monde méditerranéen, impropre au commerce. La communauté juive de la ville commence à émigrer vers Cochin.
28 septembre : guerre civile dans l'Empire byzantin. Jean Cantacuzène, régent de Jean V, fils mineur d’Andronic, qui a quitté Constantinople à la tête d'une armée pour conquérir les établissements Francs en Morée, est destitué par la tutrice Anne de Savoie et soulève une armée contre elle, appuyé par l’aristocratie terrienne dont il est issu.
2 octobre : victoire des Pisans sur les Florentins. Ils mettent le siège devant Lucques, prise en juillet 1342.
Décembre : le grand-duc de LituanieGédymin est tué en combattant les Teutoniques qui assiègent une ville près de Kaunas. Ses fils Algirdas et Keiskutis, se partagent le pouvoir, le premier régnant à Vilnius avec le titre de duc de Lituanie, le second portant le titre de duc de Troki, près de Kaunas.
Mort d'Özbeg, khan de la Horde d'or. Ses fils Tinibeg (1341-342) puis Djanibeg (fin de règne en 1357) lui succèdent. Peu avant sa mort, Özbeg autorise les commerçants génois et vénitiens à reconstruire Caffa.
Le principe de la primogéniture est entériné pour la succession en Bohême. Les droits de l’héritier au trône doivent être reconnus par la « nation » (l’assemblée des nobles) et entérinés par l’empereur.