1847 en littérature

1847 en littérature est un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat dans différents domaines. Depuis son émergence, elle fait l’objet d’analyses et d’études de la part d’experts du domaine, ainsi que de personnes intéressées à comprendre ses implications et ses conséquences. Au fil des années, 1847 en littérature a évolué et acquis différentes perspectives, ce qui a enrichi la discussion autour de ce sujet. Dans cet article, nous analyserons en détail les caractéristiques, l'impact et les scénarios futurs possibles liés à 1847 en littérature, dans le but de fournir une vision complète et actualisée sur ce sujet qui a retenu l'attention de tant de personnes.

Chronologies
1844 1845 1846  1847  1848 1849 1850
Décennies :
1810 1820 1830  1840  1850 1860 1870
Siècles :
XVIIe XVIIIe  XIXe  XXe XXIe
Millénaires :
-Ier Ier  IIe  IIIe
Chronologies géographiques
Antarctique
Chronologies thématiques
Calendriers
Années de la littérature :
1844 - 1845 - 1846 - 1847 - 1848 - 1849 - 1850
Décennies de la littérature :
1810 - 1820 - 1830 - 1840 - 1850 - 1860 - 1870

Cet article présente les faits marquants de l'année 1847 en littérature.

Évènements

Presse

Parutions

Essais

Poésie

Romans

Auteurs francophones

Auteurs traduits

Théâtre

Principaux décès

Notes et références

  1. Le Cercle de la librairie, 1847-1997 : 150 ans d'actions pour le livre et ses métiers, Le Cercle, (présentation en ligne)
  2. Kraus Reprint, Bibliographie de la France, ou, Journal général de l'imprimerie et de la, (présentation en ligne)
  3. Robert Gaillard, Alexandre Dumas : 24 juillet 1803 - 5 décembre 1870, Calmann-Levy, , 314 p. (ISBN 978-2-7062-0192-9, présentation en ligne)
  4. Hugo (Choses vues T1 p. 411) : "Chateaubriand. Mme Récamier. Hugo: "Mme de Chateaubriand mourut le 11 février 1847. C'était une personne maigre, sèche, noire, très marquée de petite vérole, laide, charitable sans être bonne, spirituelle sans être intelligente. Elle était fort convenablement avec M. de Chateaubriand. Dans mon extrême jeunesse, quand je venais voir M. de Chateaubriand, j'avais peur d'elle. Elle me recevait d'ailleurs assez mal. M. de Chateaubriand, au commencement de 1847, était paralytique; Mme Récamier était aveugle. Tous les jours, à trois heures, on portait M. de Chateaubriand près du lit de Madame Récamier. Cela était touchant et triste. La femme qui ne voyait plus cherchait l'homme qui ne sentait plus: leurs deux mains se rencontraient. Que Dieu soit béni; on va cesser de vivre qu'on s'aime encore."
  5. Hugo (Choses vues T1, p. 439) :"Elle avait été fort jolie, mais elle s'était retirée de bonne heure des prétentions à la beauté."

Voir aussi

Articles connexes