Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de 251, un aspect fondamental qui traverse différents domaines de la vie quotidienne. Nous approfondirons ses origines, son évolution au fil des années et sa pertinence aujourd'hui. À travers une analyse détaillée et exhaustive, nous examinerons les différentes approches et perspectives qui existent autour de 251, ainsi que ses implications dans les sphères sociales, culturelles, économiques et politiques. De même, nous nous arrêterons pour examiner comment 251 a impacté la façon dont nous percevons le monde qui nous entoure et comment il a façonné nos interactions et nos relations avec les autres individus. Au fil de ces pages, nous proposons d’approfondir tous les aspects de 251, dans le but de mettre en lumière un sujet d’une grande actualité à l’époque contemporaine.
après Pâques (23 mars), l'évêque Cyprien rentre à Carthage où il convoque un premier concile pour régler la question des lapsi. Ceux qui ont acheté des certificats de sacrifice (libellus) sont pardonnés, ceux qui ont sacrifié devront faire une longue pénitence. Le concile condamne le prêtre Novat et le schisme de Novatien. Cyprien y lit sous forme de discours ses traités De Lapsis, et De Catholicae Ecclesiae unitate.
l'empereur romainDèce et son fils Herennius Etruscus sont vaincus et tués par les Goths à la bataille d'Abrittus, aujourd'hui Razgrad (trahi par Trébonien Galle ?). Il s'ensuit une période confuse de succession : Trébonien Galle (Trebonianus Gallus) prend le pouvoir jusqu'en 253 ; il donne à Hostilien, fils de Dèce, le rang d'Auguste, puis à sa mort de la peste à la fin de l'été, s'adjoint son fils Volusien. Gallus négocie une paix désavantageuse avec les Goths de Cniva, qui conservent leur butin et reçoivent un tribut en échange de leur retrait.
la persécution des chrétiens cesse à Rome et en Afrique. Novatien se fait élire évêque de Rome contre Corneille qu’il accuse de complaisance à l’égard des lapsi, chrétiens qui avaient failli lors de la persécution de Dèce. Corneille, élu après 14 mois de vacance du siège pontifical, règle la question des lapsi par la clémence avec Cyprien et combat Novatien.
Un prince parthe d’Iran, Anak, se réfugie à la cour du roi d’Arménie Tiridate II ; une fois installé à Artachat, il assassine traîtreusement le roi. Dans la confusion qui suit cet assassinat, les Perses envahissent l’Arménie. Avant de mourir, Tiridate a eu le temps de faire exécuter Anak et les siens. Seul Grigor, fils d’Anak, échappe au massacre et se réfugie à Césarée de Cappadoce, où il est instruit dans la foi chrétienne. Il se marie, puis divorce au bout de quelques années avec le consentement de sa femme pour se consacrer au sacerdoce. Puis voulant acquitter la dette de son père, il se rend auprès du fils de Tiridate II, le futur Tiridate III, qui avait été envoyé à Rome après l’invasion perse où il avait reçu une éducation militaire.
↑Paul Monceaux, Histoire littéraire de l’Afrique chrétienne depuis les origines jusqu’à l’invasion arabe, vol. 3, Culture et civilisation, (présentation en ligne)