Dans cet article, nous explorerons en profondeur la pertinence de 300 av. J.-C. dans différents contextes et circonstances. De son impact sur la société à son influence sur la culture populaire, 300 av. J.-C. a laissé une marque significative sur divers aspects de la vie quotidienne. Grâce à une analyse détaillée, nous examinerons les nombreuses facettes de 300 av. J.-C. et son importance dans le monde d'aujourd'hui. De plus, nous explorerons comment 300 av. J.-C. a évolué au fil du temps et quelles projections futures peuvent être anticipées par rapport à ce phénomène. De son origine à son héritage, cet article fournira une vision complète de 300 av. J.-C. et de son importance dans le paysage contemporain.
Loi « Ogulnia » : les charges magistrales des collèges des pontifes et des augures deviennent accessibles à la plèbe à la suite d'un plébiscite organisé par Ogulnius. Toutes les magistratures sont désormais accessibles aux plébéiens à Rome.
Siège de la ville de Nequinum, près de l'actuelle Narni, en Ombrie.
Séleucos Ier fonde une soixantaine de villes dont 16 Antioche et 9 Séleucie. Les fondations ne sont pas toujours des créations ex nihilo, mais parfois des synœcismes de villages, l’élévation d’une bourgade indigène à la dignité de cité, ou un simple changement de nom. Ces cités sont des poleis, avec un territoire, une autonomie municipale (justice et finances), des magistrats. Elles sont toutefois soumises à la surveillance d’un gouverneur (épistate) et reçoivent parfois une garnison. Le roi participe à la construction des édifices publics et octroie des privilèges qui accroissent leur indépendance, comme l’asylie ou l’inviolabilité. Les cités favorisent l’essor économique. Elles permettent l’implantation de troupes en gardant les axes de circulation et les points stratégiques. Elles diminuent la résistance indigène en morcelant les anciennes satrapies entre les cités. Enfin, elles répandent en Orient la civilisation grecque.