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3e régiment du génie : compagnie 2/2 d'août 1914 à l'armistice, compagnie 2/2 bis puis 2/52 de juillet 1915 à l'armistice, compagnie 2/71 de janvier 1917 à l'armistice.
5, 6 et : attaques françaises. Le , occupation d'un secteur vers Trésauvaux et Marchéville.
- 1er octobre : mouvement de rocade et occupation d'un nouveau secteur vers la tranchée de Calonne et Trésauvaux, réduit à gauche, le , jusqu'au ruisseau de Champlon ; nombreuses actions locales.
: secteur réduit, à droite, jusque vers le village des Éparges. Front étendu à droite, le , jusqu'à la tranchée de Calonne (guerre de mines), et, le , jusqu'à Vaux-lès-Palameix.
1er - : retrait du front et transport par camions de la région de Dieue-sur-Meuse dans celle de Sainte-Menehould ; repos.
: occupation d'un secteur vers les Mamelles et le sud de Tahure, étendu à gauche, le 16, jusqu'au nord de Tahure
30 - : violentes attaques allemandes vers Tahure.
- : Retrait du front, le , mouvement par étapes et transport par camions de la région de Somme-Bionne dans celle de Chaumont-sur-Aire ; repos. Le 1er décembre, mouvement vers Souilly ; repos, instruction et travaux.
1916
- : mouvement vers le front puis occupation d'un secteur vers Kœur-la-Grande et le sud de Vaux-lès-Palameix. Front réduit à droite, le 1er février, jusqu'aux Paroches, le , jusque vers Woimbey. Le , front étendu, à droite, jusqu'à Dompcevrin.
10 - : retrait du front et transport dans la région de Verdun.
19 - : retrait du front et repos vers Bayonvillers.
- : engagée à nouveau dans la bataille de la Somme, vers Berny.
4, 5 et : attaques françaises sur Berny.
: prise de Berny.
- : retrait du front et transport par camions dans la région de Sourdon ; repos.
- : mouvement vers Proyart ; à partir du , occupation d'un secteur vers Berny et le sud de Belloy-en-Santerre, réduit à gauche, le , jusqu'au sud de Berny.
- : retrait du front, et transport par V.F. dans la région de Toul ; repos et instruction.
1917
- : mouvement, par Nancy, vers Lunéville ; travaux de 2e position.
: mouvement vers le camp de Bois-l'Évêque : repos et instruction.
: transport par V.F. de la région de Toul dans celle de Mareuil-le-Port ; repos et instruction.
17 - : mouvement vers le front, et, le , occupation d'un secteur vers la Hayette et la corne sud-est du bois d'Avocourt.
- : retrait du front (éléments laissés en secteur jusqu'au ) ; repos vers Ligny-en-Barrois, à partir du 15, vers Void (éléments en secteur vers Saint-Mihiel).
- : mouvement vers la région de Verdun ; puis occupation d'un secteur vers Haucourt et Avocourt, étendu à gauche, du au , jusqu'à l'ouest d'Avocourt).
1918
- : retrait du front ; repos et instruction dans la région de Tannois, puis, à partir du , dans celle de Vanault-les-Dames.
- : transport vers le front, et, à partir du , occupation d'un secteur vers le Bois-le-Chaume et Beaumont, déplacé à gauche, le , vers Beaumont et la cote 344.
17 - : retrait du front, mouvement vers Laheycourt ; repos.
: reprise de l’offensive : combat dans la forêt de Ris et vers Arcis-le-Ponsart ; franchissement de l'Ardre.
- : retrait du front ; mouvement vers la région d'Herpont, puis repos vers Givry-en-Argonne.
- : mouvement vers le front ; occupation d'un secteur vers Perthes-les-Hurlus et le Mesnil-les-Hurlus, étendu à droite, le , jusque vers la ferme Beauséjour.
- : Retrait du front, le , transport par V.F. dans la région de Lunéville. À partir du , occupation d'un secteur vers Leintrey et le Sânon; préparatifs d'offensive.
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Seconde Guerre mondiale
La 4e division d'infanterie est recréée le à la mobilisation. Il s'agit d'une division de réserve de série A. Le , la 4e DI, sous les ordres du général Musse, est rattachée au corps de réserve du GQG qui est intégré à la 7e Armée.
À cette date la 4e division d'infanterie se compose de :
Elle est surnommée division atomique dans les années 1950. Elle participe à la guerre d'Algérie sous le nom de 4e divisiond'infanterie motorisée. Début 1956, elle rejoint la frontière algéro-marocaine depuis son casernement en Allemagne. En juillet de la même année, elle rejoint l'Oranie. La division est alors attachée au secteur opérationnel Est Oranie (SOEO) de la division territoriale d'Oran, à Mostaganem et Tiaret. En septembre 1958, le SOEO est devenu zone Sud Oranais du corps d'armée d'Oran. En juillet 1962, le corps d'armée d'Oran prend le nom de 24e corps d'armée. La 4e DIM lui est toujours rattachée.
Le 24e corps d'armée devient le la 4e division, PC à Oran puis Arzew et trois brigades, 41e à Mostaganem, 42e à Oran et 43e à Mers el-Kébir. La 51e brigade, de Colomb-Béchar, lui est rattachée du à sa dissolution le . La 4e division est dissoute le .
Division mécanisée puis blindée de 1967 à 1985
La 4e division, puis 4e division blindée, stationnée en Lorraine, est recréée en 1967 et finalement dissoute en 1985.