Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de 62 av. J.-C., explorant ses origines, ses applications et son impact sur la société actuelle. Depuis ses premières mentions dans l’histoire jusqu’à sa pertinence aujourd’hui, 62 av. J.-C. a suscité l’intérêt et la curiosité des experts et des fans. A travers une analyse détaillée et exhaustive, nous tenterons de percer les mystères et les particularités qui font de 62 av. J.-C. un sujet si pertinent aujourd'hui. Depuis ses débuts jusqu'à ses éventuels développements futurs, cet article est proposé comme un guide complet pour ceux qui souhaitent entrer dans le monde de 62 av. J.-C..
Empêché par la goutte, le consul C. Antonius remet à son légat, Marcus Petreius, le commandement de l’armée. Il rencontre Catilina à Pistoia. Manlius et Catilina sont tués au cours de la bataille. Brisée officiellement en la personne de Catilina, et certainement orchestrée en sous-main par Crassus et César, la conjuration continuera à vivre sous une forme nouvelle, celle des clubs (58 av. J.-C.).
Vers le 15 septembre : les Éduens et les Séquanes sont vaincus à la bataille de Magetobriga (Amagetobria) par Arioviste. À l'appel de leurs alliés Séquanes, les 15 000 Suèves d'Arioviste passent le Rhin et infligent une lourde défaite aux Éduens, alliés de Rome. Arioviste réclame le tiers du territoire séquane pour son intervention. Les Séquanes refusent et sont massacrés par les Suèves.
Mi-décembre : Pompée, de retour d’Asie, débarque à Brundisium avec ses légions. S’il le veut, il est maître de Rome. À la stupéfaction générale, il licencie son armée, en application de la règle constitutionnelle. Il pense obtenir le pouvoir personnel non par un coup d’État, mais par collation légale régulière.
Expédition du légat de Pompée en Syrie, Marcus Aemilius Scaurus, contre les Nabatéens après l'intervention d'Arétas III en Judée. Il marche sur Pétra, ravage le pays mais ses troupes souffrent de la famine. Antipater, sur ordre d'Hyrcan II, le ravitaille, puis est envoyé auprès d'Arétas et le convainc de payer un tribut de 300 talents en échange du retrait des troupes romaines.
↑Gilbert Argoud, Jean-Yves Guillaumin, Sciences exactes et sciences appliquées à Alexandrie, Université de Saint-Étienne, (ISBN9782862721200, présentation en ligne)
↑Marie Ledentu, Studium Scribendi : recherches sur les statuts de l'écrivain et de l'écriture à Rome à la fin de la République, Peeters Publishers, , 443 p. (ISBN978-90-429-1446-9, présentation en ligne)
↑ a et bRevue belge de philologie et d'histoire, vol. 57, Fondation universitaire de Belgique, (présentation en ligne)
↑Francis Prost, L'Orient Méditerranéen de la mort d'Alexandre aux Campagnes de Pompée : Cités et royaumes à l'époque hellénistique ; Colloque international de la SOPHAU, Rennes, avril 2003, Presses Univ. du Mirail, , 414 p. (ISBN978-2-85816-713-5, présentation en ligne)