Dans le monde d'aujourd'hui, Abid Briki est un sujet qui a retenu l'attention de personnes de tous âges et de toutes cultures. Sa pertinence s'est reflétée dans la large couverture médiatique dont elle a bénéficié, ainsi que dans l'intérêt croissant qu'elle a suscité dans différents secteurs de la société. Les experts et les amateurs ont trouvé des raisons de consacrer du temps et des ressources à l’exploration de ce sujet et de ses implications. Dans cet article, nous examinerons Abid Briki sous différents angles, analysant son impact dans divers domaines et offrant des perspectives pour mieux comprendre son importance dans le contexte actuel.
Abid Briki | |
Fonctions | |
---|---|
Secrétaire général de Tunisie en avant | |
En fonction depuis le (5 ans et 27 jours) |
|
Prédécesseur | Poste créé |
Ministre tunisien de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption | |
– (6 mois et 3 jours) |
|
Président | Béji Caïd Essebsi |
Chef du gouvernement | Youssef Chahed |
Gouvernement | Chahed |
Prédécesseur | Kamel Ayadi |
Successeur | Kamel Morjane (indirectement) |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Zarzis (Tunisie) |
Nationalité | tunisienne |
Parti politique | Parti unifié des patriotes démocrates, indépendant puis Tunisie en avant |
Profession | Syndicaliste |
modifier |
Abid Briki, né le à Zarzis, est un syndicaliste et homme politique tunisien.
Il entame sa carrière syndicale très tôt et gravit rapidement les échelons, passant du syndicat de base de l'enseignement secondaire au syndicat national puis à la centrale syndicale. Abid Briki a été porte-parole et secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail. Il a également été chargé de mission et conseiller à l'Organisation arabe du travail.
Briki a été membre de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, institution créée le après la révolution tunisienne.
Il est considéré comme l'un des fondateurs du Mouvement des patriotes démocrates avec Mohamed Hedfi, Chokri Belaïd, Sofiane Ben Farhat et d'autres militants de l'université. Cependant, lors de la légalisation du parti en 2011, il préfère se consacrer au syndicalisme. Il préside, néanmoins, le congrès unificateur du parti (Mouvement des patriotes démocrates, Parti du travail patriotique et démocratique et indépendants) tenu en 2012.
Le , il est nommé ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance dans le gouvernement de Youssef Chahed. Le , dans le cadre d’un remaniement ministériel partiel, Chahed demet Briki de ses fonctions. Dès lors, il affirme qu'il a eu connaissance de plusieurs dossiers de corruption qui aurait été passés sous silence. Khalil Ghariani est désigné pour le remplacer, mais celui-ci décline le poste.
En , lors d'une conférence de presse, il appelle à l'union de la gauche tunisienne.
Élu secrétaire général du mouvement Tunisie en avant le , il en est le candidat à l'élection présidentielle suivante.