L'article suivant abordera le sujet de Agence nationale des fréquences, qui a retenu l'attention des chercheurs, des experts et du grand public ces dernières années. À mesure que la société progresse et fait face à de nouveaux défis, Agence nationale des fréquences est devenue un point d'intérêt et de débat en raison de son influence sur différents aspects de la vie quotidienne. C’est pourquoi il est pertinent d’explorer ce sujet en profondeur pour comprendre son importance, son impact et ses éventuelles implications futures. Tout au long de cet article, divers aspects liés à Agence nationale des fréquences seront examinés, dans le but de proposer une vision globale et enrichissante qui invite à la réflexion et au débat.
Fondation |
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Sigle |
ANFr |
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Type | |
Forme juridique | |
Domaine d'activité |
Administration publique (tutelle) des activités économiques |
Siège |
78, avenue du Général-de-Gaulle 94700 Maisons-Alfort |
Pays | |
Coordonnées |
Effectif |
292 employés () |
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Présidente | |
Affiliation | |
Budget |
39,3 M€ () |
Site web |
SIREN | |
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data.gouv.fr |
L'agence nationale des fréquences (ANFR) est, en France, un établissement public à caractère administratif créé le , avec pour mission d'assurer la planification, la gestion et le contrôle de l'utilisation, y compris privative, du domaine public des fréquences radioélectriques sous réserve de l'application de l'article L. 41 du Code des postes et des communications électroniques, ainsi que des compétences des administrations et autorités affectataires de fréquences radioélectriques. Son budget est imputé sur le programme budgétaire 134 « Développement des entreprises et du tourisme », du ministère chargé de l’Économie et des Finances.
Elle coordonne l'implantation sur le territoire national des stations radioélectriques de toute nature afin d'assurer la meilleure utilisation des sites disponibles et veille au respect des valeurs limites d'exposition du public aux champs électromagnétiques prévues à l'article L. 34-9-1 du Code. À cet effet, les décisions d'implantation ne peuvent être prises qu'avec son accord (par le passage en Commission consultative des sites et servitudes, COMSIS) ou, lorsqu'elles relèvent de la compétence du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qu'après son avis. Le conseil est tenu par cet avis lorsqu'il est fondé sur un motif tiré du respect des valeurs limites d'exposition.
En , l'ANFR dénombrait en France 119 250 antennes-relais de toutes sortes.
En , 157 000 installations sont autorisées sur le territoire métropolitain. Ce chiffre :
Le , 14 293 sites ont été autorisés pour des antennes de téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus[réf. nécessaire].
En , l'ANFR met à disposition de tous sous licence ouverte ses données sur les installations radioélectriques de plus de 5 watts.
Elle assure notamment la répartition des fréquences allouées aux opérateurs publics comme privés. Elle publie un document, accessible au public, de répartition des fréquences sur le territoire national (y compris dans les DROM-COM).
Elle délivre le certificat restreint de radiotéléphoniste (CRR), une habilitation que doit posséder tout utilisateur pour manœuvrer les stations radiotéléphoniques dans les contextes de navigation maritime, fluviale ou aéronautique.
L'agence est placée auprès du ministre chargé des communications électroniques.
Elle est administrée par un conseil d'administration de dix-huit membres comportant six personnalités choisies en raison de leur compétence, dont le président ; dix représentants de divers ministères, ainsi qu'un représentant du Conseil supérieur de l'audiovisuel et un représentant de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes.
La présidente du conseil d'administration est Caroline Laurent depuis le 6 mai 2022.
Le directeur général est nommé par décret, après avis du président du conseil d'administration.