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Naissance |
Enix, Espagne |
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Décès |
(à 65 ans) 18e arrondissement de Paris |
Activité principale | |
Distinctions |
Langue d’écriture | Castillan, français |
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Genres |
Œuvres principales
Agustín Gómez-Arcos, né le à Almería (Andalousie) et mort le à Paris 18e, est un écrivain libertaire espagnol, d'expression espagnole et française.
Il entreprend des études de droit, mais quitte l'université pour le théâtre. Il écrit en parallèle dans le magazine Poesía Española et publie le recueil de poésie Ocasión de paganismo (1956).
Dans le milieu théâtral de Madrid, il est à la fois dramaturge, acteur, metteur en scène et traducteur. Contrairement aux dramaturges Antonio Buero Vallejo ou Alfonso Paso, il décide de transgresser les interdits de la censure de la dictature franquiste. Il connaît un certain succès avec Elecciones generales (1960), pièce inspirée par Les Âmes mortes de Nicolas Gogol, Diálogos de la herejía (1962) et Los gatos (1963). En outre, il traduit et met en scène plusieurs pièces françaises, dont La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux. Mais certaines de ses pièces ayant été interdites, il choisit l'exil et s'installe en France en 1966.
À partir de 1975, il écrit directement en français des romans traduits dans le monde entier. L'Agneau carnivore, son premier roman en partie autobiographique, voit un narrateur évoquer son enfance dans l'Espagne franquiste et aborder sans concession les thèmes de l'inceste et de l'homosexualité. Suivront María República (1976) et Ana non (1977) qui forment la Trilogie d'après-guerre.
Ses romans Scène de chasse (furtive) (1978) et Un oiseau brûlé vif (1984) sont tous deux finaliste au prix Goncourt.
Mort à Paris en , sa dépouille est inhumée au cimetière Montmartre.