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Aldébaran | ||||||||||
Puissance nucléaire | France | |||||||||
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Localisation | Moruroa Polynésie française |
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Coordonnées | 21° 50′ 00″ S, 138° 50′ 00″ O | |||||||||
Date | ||||||||||
Type d'arme nucléaire | Bombe A | |||||||||
Puissance | 28 kt | |||||||||
Type d'essais | Atmosphérique | |||||||||
Altitude du site | à 10 m (sur barge) | |||||||||
Géolocalisation sur la carte : Océanie
Géolocalisation sur la carte : Polynésie française
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Aldébaran est un essai nucléaire français effectué en 1966 à Mururoa en Polynésie française. Il a été le premier d'une série de 193 essais nucléaires en Polynésie.
Le 1er juillet, un incident technique se produit quelques minutes avant le tir, qui est annulé et reporté au lendemain.
Le , les représentants de la Polynésie ont été invités sur le porte-avions Foch pour assister à l'explosion. Les conditions atmosphériques sont moins favorables que la veille, et l'essai provoque une grave contamination de l’île de Mangaréva et de l’atoll de Totegegie, situés à environ 400 km à l'est du lieu de tir. Elle est d'une puissance d'environ vingt-huit kilotonnes, soit un peu moins que le double de la bombe d'Hiroshima, alors que le général Pierre Billotte, ministre chargé des départements et territoires d’Outre-Mer annonce une charge identique à celle de Little Boy.
L’armée, qui achetait les légumes verts aux Tahitiens de Mangaréva, arrête dès le lendemain sans explication. Les Tahitiens, quant à eux, ont continué à consommer leur production de légumes verts et manger les poissons du lagon.
Chaque année, des Polynésiens organisent une cérémonie en mémoire de ce premier tir nucléaire français en Polynésie.