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Alda do Espírito Santo | |
Fonctions | |
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Présidente de l'Assemblée nationale santoméenne | |
– (10 ans, 9 mois et 18 jours) |
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Législature | IIe et IIIe |
Prédécesseur | Leonel Mário d'Alva |
Successeur | Leonel Mário d'Alva |
Députée | |
– (au moins) (15 ans, 2 mois et 18 jours) |
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Législature | Ire, IIe et IIIe |
Biographie | |
Nom de naissance | Alda Neves da Graça do Espírito Santo |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Sao Tomé (Sao Tomé-et-Principe) |
Date de décès | (à 83 ans) |
Lieu de décès | Luanda (Angola) |
Nationalité | Santoméen |
Parti politique | MLSTP-PSD |
Profession | Poétesse, écrivaine |
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Alda do Espírito Santo, née le à Sao Tomé et morte le à Luanda (Angola), est une femme de lettres et une femme politique santoméenne. Elle est une figure emblématique de la lutte pour l'indépendance de Sao Tomé-et-Principe.
Alda Neves da Graça do Espírito Santo, dite Alda do Espírito Santo, est la fille de Maria de Jesus Agostinho das Neves et de João Graça do Espírito Santo. Après des études primaires à São Tomé-et-Principe, elle fait ses études secondaires au Portugal. En 1948, elle étudie à Lisbonne pour devenir enseignante. En 1951, Alda fonde avec d'autres étudiants le Centro de Estudos Africanos (Centre d’études africaines) où se retrouvent poètes et personnalités politiques. En 1953, elle rentre enseigner à São Tomé et milite pour l'indépendance aux côtés de groupes nationalistes. En décembre 1965, elle est emprisonnée plusieurs mois pour activisme.
Dirigeante nationaliste, elle est membre du gouvernement de transition de 1974, occupant le portefeuille de la Culture — elle en est la seule femme. Elle est reconduite après l'indépendance du en tant que ministre de l'Éducation et de la Culture. Elle est nommée en à l'Assemblée nationale, devenant l'une des six premières Santoméennes députées. Elle est présidente de l'Assemblée nationale entre le et le et plusieurs fois ministre.
Elle est l'autrice des paroles de l'hymne national, Independência total.
Poétesse, elle écrit en portugais des recueils comme O Jorgal das Ilhas (1976) et O Nosso o Solo Sagrado de Terra (1978), Mensagens do Canto do ossobó (2006),,.
À sa mort, le à Luanda où elle est soignée, le gouvernement santoméen décrète un deuil national de cinq jours.