Dans cet article, nous allons explorer en profondeur le sujet de Apocryphe (littérature et art) et son influence sur différents aspects de notre vie quotidienne. De son impact sur l’économie à son rôle dans la société, Apocryphe (littérature et art) est un sujet qui suscite l’intérêt des experts et des passionnés. Au cours des prochaines lignes, nous analyserons les différentes facettes de Apocryphe (littérature et art) et tenterons de faire la lumière sur certaines inconnues entourant ce phénomène. De plus, nous examinerons comment Apocryphe (littérature et art) a évolué au fil du temps et quel a été son impact sur la culture populaire. Il s’agit sans aucun doute d’un sujet fascinant qui mérite notre attention et notre réflexion.
Une œuvre est qualifiée d’apocryphe (du grec ἀπόκρυφος / apókryphos, « caché ») lorsque son « authenticité n'est pas établie ».
Toutes les littératures connaissent des apocryphes, certaines se sont même fait une spécialité d'autobiographies apocryphes,. On parle de pseudépigraphe quand le titre ou le nom de l'auteur est faux.
Dans le domaine des arts plastiques, on parle de signature apocryphe, de monogramme apocryphe et de date apocryphe. L'indication apocryphe peut être frauduleuse, pour attribuer une œuvre à un artiste célèbre, ou de bonne foi pour attester une tradition.
« L'autobiographie apocryphe : le cas est peu fréquent à l'époque moderne, mais plus courant au XVIIe et au XVIIIe siècle, dans la rédaction des mémoires. Dans ces textes à tendance autobiographique de cette époque, la mention « écrit par lui-même » doit éveiller autant la suspicion que l'intérêt. On sait par exemple que les mémoires de Pontis ont été « recueillis » par Pierre Thomas du Fossé, c'est-à-dire, dans une certaine mesure, écrits par lui. À l'époque moderne, le pis qui arrive est qu'une veuve abusive récrive à sa manière le texte de son mari, comme le fit Mme Michelet pour le Mémorial. »