Aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant de Application coordonnée de comptabilisation, d'ordonnancement et de règlement de la dépense, un sujet qui a captivé l'attention des personnes de tous âges et de toutes cultures à travers l'histoire. Application coordonnée de comptabilisation, d'ordonnancement et de règlement de la dépense est une source inépuisable d'inspiration et de fascination, que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence dans le domaine scientifique, de son influence sur la culture populaire ou de son pouvoir transformateur dans la vie des gens. Tout au long de cet article, nous explorerons les différents aspects de Application coordonnée de comptabilisation, d'ordonnancement et de règlement de la dépense, de ses origines à ses dernières tendances, pour mieux comprendre son importance et son impact sur le monde moderne.
ACCORD (Application coordonnée de comptabilisation, d'ordonnancement et de règlement de la dépense) a été un projet interministériel lancé par l'État français en 1996 visant à intégrer au sein d'un système d'information unique l'ensemble des acteurs financiers de la comptabilité publique des ministères et de leurs services déconcentrés (gestionnaires, comptables, ordonnateurs, contrôleurs financiers) pour le pilotage des dépenses de l'État.
L'application ACCORD remplace 68 applications et couvre également une partie des fonctionnalités qui étaient jusqu'alors assurées par les applications de gestion propres à chacun des ministères. ACCORD a été remplacée par l'application Chorus en 2009.
Le projet a été piloté par l'Agence pour l'Informatique Financière de l'État (AIFE).
Il est prévu une évaluation annuelle par la Cour des comptes de la mise en œuvre de la LOLF.
Le rapport annuel 2006 de la Cour des comptes portant sur l'exercice 2005, avant la première année de mise en œuvre de la LOLF, a fait état d'une grande difficulté à évaluer des actifs de l'État, particulièrement les immobilisations incorporelles qui correspondent notamment aux équipements informatiques. Cet état des lieux a été confirmé fin 2006 par le rapport Lévy-Jouyet sur l'économie de l'immatériel.