Dans cet article, nous explorerons Béchir M'hedhbi en détail, un sujet qui a retenu l'attention et l'intérêt de nombreuses personnes ces derniers temps. De son impact sur la société à sa pertinence dans différents domaines d'études, Béchir M'hedhbi a fait l'objet de débats et de discussions dans un large éventail de contextes. Grâce à une analyse exhaustive, nous chercherons à approfondir les nombreuses facettes de Béchir M'hedhbi, offrant une perspective globale qui permet au lecteur de mieux comprendre son importance et ses implications. De ses origines à ses possibles implications futures, cet article abordera Béchir M'hedhbi sous diverses perspectives pour fournir un aperçu complet et enrichissant de ce sujet fascinant.
Béchir M'hedhbi | |
Portrait de Béchir M'hedhbi. | |
Fonctions | |
---|---|
Ministre tunisien de la Défense | |
– (9 mois et 11 jours) |
|
Président | Habib Bourguiba |
Premier ministre | Hédi Nouira |
Gouvernement | Nouira |
Prédécesseur | Hassib Ben Ammar |
Successeur | Abdallah Farhat |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Hajeb El Ayoun, Tunisie |
Date de décès | (à 75 ans) |
Nationalité | tunisienne |
Parti politique | Néo-Destour puis PSD |
modifier |
Béchir M'hedhbi (arabe : بشير المهذبي), né le à Hajeb El Ayoun et mort le , est un homme politique tunisien.
Militant de la première heure du Néo-Destour, il adhère très tôt au mouvement national, ce qui amène Habib Bourguiba à lui confier la direction de la rédaction de L'Action tunisienne en 1932, parallèlement à ses études en droit et économie politique. Il participe également au congrès constitutif du Néo-Destour en 1934.
Après l'indépendance, il occupe de nombreuses fonctions politiques et prend des décisions importantes telles que la « tunisification » de Radio Tunis, la modernisation du secteur de l'électricité et du gaz ou la suppression des lignes de tramways.
Chargé de mission au ministère de l'Économie nationale en 1956, il devient directeur général de la radio tunisienne durant deux ans puis directeur général des réseaux d'électricité, de gaz et de transport pendant quatre ans. Il entre comme haut-cadre au ministère des Affaires étrangères en 1962 et devient ambassadeur simultanément à Beyrouth, Koweït et Amman, jusqu'en 1970. Nommé ambassadeur à Tripoli, il devient ensuite secrétaire général du ministère des Affaires étrangères. Il entre brièvement au gouvernement comme ministre de la Défense nationale entre le 29 octobre 1971 et le 9 août 1972, tout en occupant un siège au bureau politique du Parti socialiste destourien.
Par la suite, il occupe les fonctions d'ambassadeur à Rabat entre 1972 et 1974 et à Londres entre 1974 et 1976.