Dans l'article d'aujourd'hui, nous explorerons le monde passionnant de Babouse. De ses origines à son impact aujourd'hui, nous aborderons un large éventail de sujets liés à Babouse, en analysant son influence dans différents domaines et sa pertinence dans la société. Au fil de ces pages nous découvrirons des aspects méconnus, des données surprenantes et des réflexions enrichissantes qui nous amèneront à comprendre l'importance de Babouse dans le monde contemporain. Préparez-vous à vous lancer dans un voyage fascinant qui vous permettra d'élargir vos connaissances et d'ouvrir votre esprit à de nouvelles perspectives sur Babouse.
Naissance | |
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Nom dans la langue maternelle |
François-Henry Monier |
Pseudonyme |
Babouse |
Nationalité | |
Activité |
Babouse, François-Henry Monier de son vrai nom, est un dessinateur de presse, journaliste, illustrateur et auteur de bandes-dessinées, né le à Boulogne-sur-Mer.
À partir de 1982, il suit les cours du soir aux Beaux-Arts de Boulogne-sur-mer, où il a grandi.
Il entame des études à l'université régionale des Beaux-Arts de Dunkerque, où il gagne son surnom puis, en 1990, se consacre à plein temps à la bande-dessinée et au dessin d'actualité. Il collabore à plusieurs publications, par exemple « Charlie Hebdo, L'Humanité, Psikopat, Fluide glacial, les Cahiers du football ». Militant de gauche, il participe à diverses organisations. Pour la municipalité de Calais, il réalise une bande dessinée d'environ quarante pages ; en 2001, ses travaux font l'objet d'une exposition au centre Gérard-Philipe.
À partir de 2004, en collaborant à Charlie Hebdo, il se fait des amis dans la rédaction, comme Charb, « l'un de deux meilleurs potes ». Il est alors victime d'appels malveillants. Un hasard de calendrier empêche Babouse de se rendre à la rédaction du journal lors des attentats de janvier 2015. Le dessinateur reste marqué par les attaques. La collaboration avec le périodique se poursuit après les attentats.
Il revendique un certain style de dessin à l'humour engagé sur le terrain de l'actualité tout en n'hésitant pas à le teinter d'humour noir et d'un certain sens de l'absurde (L'Humanité, La Vie ouvrière, Psikopat, France 3 Nord-Pas-de-Calais, L'assmat, CQFD…), ce qui se ressent également dans les scénarios de ses bandes-dessinées (Spirou, Psikopat…) ou dans ses textes (Fluide glacial dans les Babouse blues)[réf. nécessaire].
Il participe également à certaines pages ou publications au ton plus léger (Play in the House, Hara-Kiri version André Bercoff, Presto, Margarine comix, Comas lucide, Hercule et la toison d'Or…).
Les yeux globuleux de ses personnages ne sont pas sans rappeler une parenté avec le dessinateur Charb, d'après Cabu.