Bataille de Borghetto

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Bataille de Borghetto
Description de cette image, également commentée ci-après
Dessin par Nicolas-Antoine Taunay, 1802-1814
Informations générales
Date 30 mai 1796
Lieu Borghetto, Valeggio (Italie)
Issue Victoire française
Belligérants
Drapeau de la France République française Drapeau du Saint-Empire Saint-Empire
Commandants
Napoléon Bonaparte Jean-Pierre de Beaulieu
Forces en présence
27 000 hommes
56 canons
19 000 hommes
89 canons
Pertes
500 morts ou blessés 300 morts ou blessés
300 prisonniers
4 canons

Première Coalition

Batailles

Coordonnées 45° 21′ 00″ nord, 10° 44′ 00″ est
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Bataille de Borghetto
Géolocalisation sur la carte : Vénétie
(Voir situation sur carte : Vénétie)
Bataille de Borghetto

La bataille de Borghetto a lieu à proximité de Valeggio sul Mincio le entre l'armée française de Bonaparte, forte d'environ 27 000 hommes, et une armée austro-napolitaine d'environ 19 000 hommes. L’issue de la bataille est une victoire française.

Après la défaite de Lodi, les Autrichiens, sous le commandant du général Jean-Pierre de Beaulieu, se retirent derrière le Mincio et se préparent à disputer le passage de cette rivière aux Français.

Les dispositions qu'ils prennent pour ce faire contreviennent, selon Clausewitz, à l'ABC de l'art de la guerre, si bien que les troupes françaises, commandées par Bonaparte, s'emparent sans grande difficulté du pont de Borghetto qui leur permet de passer sur la rive droite du Mincio, ce qui entraîne pour les Autrichiens la nécessité de faire retraite jusque dans le Trentin.

Bonaparte peut alors mettre le siège devant Mantoue. Les armées françaises sont, militairement, maîtresses de l'Italie.

Curieusement, les deux généraux en chef sont tous deux indisposés le jour de la bataille. Si l'armée autrichienne n'en est que peu perturbée, il semble que l'armée française, au contraire, n'a pas, en la circonstance et contrairement à ses habitudes depuis qu'elle était commandée par Bonaparte, exploité à fond l'avantage d'avoir coupé en deux l'ennemi.

Tous deux indisposés, les deux généraux en chef ont également tous deux failli, à quelques heures d'intervalle, tomber entre les mains de l'adversaire, dans leur quartier général de San-Giorgio.

Bibliographie

Liens externes