Article : L’impact de la technologie sur l’éducation De nos jours, la technologie a joué un rôle fondamental dans l’évolution de l’éducation. Bataille de la Louée a eu un impact significatif sur la manière dont les étudiants acquièrent des connaissances et développent des compétences. De l’intégration de tablettes et d’ordinateurs en classe à l’utilisation de plateformes d’apprentissage en ligne, la révolution numérique a transformé la façon dont les enseignants enseignent et les étudiants apprennent. Cet article explorera l'impact que Bataille de la Louée a eu sur l'éducation, en analysant ses avantages et ses défis, ainsi que son influence sur la préparation des futurs professionnels.
Date | |
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Lieu | Haute-Goulaine |
Issue | Victoire vendéenne |
République française | Vendéens |
• Jean-Michel Beysser | • François Lyrot de La Patouillère |
Inconnues | Inconnues |
Inconnues 1 à 2 canons capturés, |
Inconnues |
Batailles
Coordonnées | 47° 10′ 59,2″ nord, 1° 25′ 33,3″ ouest | |
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La bataille de la Louée se déroule le lors de la guerre de Vendée. Elle s'achève par la victoire des Vendéens qui chassent les républicains du poste de la Louée, à Haute-Goulaine, aux abords de Nantes.
Le , les insurgés du Loroux menés par François Lyrot de La Patouillère attaquent le poste de la Louée, situé à Haute-Goulaine, aux abords de Nantes. Une soixantaine de tirailleurs sont envoyés en avant pour engager le combat, le général républicain Beysser sort du camp et se lance à leur poursuite. Il emporte quelques retranchements rudimentaires mais tombe bientôt dans un guet-apens où il se retrouve cerné par plusieurs milliers d'insurgés,. La cavalerie républicaine se fait jour et ouvre la voie au reste des forces de Beysser qui battent en retraite. Les patriotes sont poursuivis par les cavaliers vendéens jusqu'aux portes de Nantes. Le général Canclaux fait alors une sortie pour protéger la retraite des troupes de Beysser. Les Vendéens s'arrêtent à une lieue de la ville, face aux derniers postes avancés républicains.
Le 22 juin, dans son rapport au ministre de la guerre, le général Canclaux fait état de « quelque pertes d'hommes », et particulièrement de trois chefs de la légion nantaise, « ce qui a beaucoup affecté la ville ». Alexandre Coëslier, chef du 2e bataillon, figure notamment parmi les morts. Les républicains abandonnent également un canon, dont l'essieu s'est brisé et qui selon Canclaux a été encloué par Beysser lui-même. Pour Émile Gabory, les patriotes perdent deux canons.