Claude Lecomte (directeur d'opéra)

Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Claude Lecomte (directeur d'opéra) et son impact sur différents aspects de la société. Depuis son émergence jusqu'à son évolution dans le temps, Claude Lecomte (directeur d'opéra) a fait l'objet de débats et de controverses, mais il a également été source d'inspiration et de changement. Nous analyserons son influence sur la culture, la politique, l'économie et d'autres domaines, ainsi que son rôle dans la formation de l'identité et de la communauté. Grâce à une approche multidisciplinaire, nous examinerons les différentes perspectives qui existent sur Claude Lecomte (directeur d'opéra), cherchant à comprendre sa portée et sa signification dans le contexte actuel. De même, nous examinerons si Claude Lecomte (directeur d'opéra) a un impact positif ou négatif sur la société et comment il peut être compris à travers différentes approches théoriques et méthodologiques. En fin de compte, cet article vise à fournir une vue complète et équilibrée de Claude Lecomte (directeur d'opéra), afin que le lecteur puisse se faire une opinion éclairée sur ce sujet.

Claude Lecomte
Biographie
Activités
Période d'activité
XVIIIe siècleVoir et modifier les données sur Wikidata

Claude Lecomte est un financier français du XVIIIe siècle qui a participé à la direction de l'Académie royale de musique, à deux reprises, entre 1730 et 1733.

Avant de s'intéresser à l'Opéra, il était sous-fermier des aides de la généralité de Paris. Le , il s'associe avec Maximilien-Claude Gruer, Abraham Coussard et François Le Bœuf de Vaudahon au sein d'une société qui doit soutenir Gruer, qui a reçu le privilège de l'Opéra. Mais les relations entre associés se tendent très vite, et, le , Gruer décide de former une nouvelle association avec Mogniac et Hennes. Lecomte proteste et refuse de céder les droits qu'il a pris dans l'entreprise. Il finit toutefois par céder sous la pression du secrétaire d'État de la Maison du roi.

Cependant, il cherche à dénigrer Gruer pour reprendre sa place. L'occasion est trouvée lorsque le directeur de l'Opéra est impliqué dans un scandale avec des chanteuses de l'Académie. Le roi se trouve contraint de retirer la gestion à Gruer et le privilège est finalement attribué le à Claude Lecomte, qui gère l'Opéra avec François Le Bœuf.

Mais il est bientôt révélé que le fils de Claude Lecomte, à qui son père avait confié la charge de tenir la caisse, commet des irrégularités. Cette fois, c'est Lecomte qui est victime du scandale. Il ne se retire cependant pas tout de suite, Louis XV n'ayant pas agréé le comte de Saint-Gillet et le baron de Frentz, qui s'étaient portés candidats à la reprise.

Finalement, la candidature d'Eugène de Thuret est acceptée le et Lecomte doit se retirer.

Source

Jean Gourret, Ces hommes qui ont fait l'Opéra, 1984, p. 44-46.