Lorsqu'on parle de Compagnie des tramways électriques de Dijon, il est impossible de ne pas être curieux d'en savoir plus sur ce sujet. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société actuelle ou de son influence sur différents aspects de la vie quotidienne, Compagnie des tramways électriques de Dijon a capté l'attention de personnes de tous âges et de tous modes de vie. Depuis ses origines jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Compagnie des tramways électriques de Dijon a été un objet d'étude et d'intérêt pour les chercheurs, les universitaires et les curieux. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Compagnie des tramways électriques de Dijon, ainsi que son importance et sa pertinence dans le contexte actuel.
La Compagnie des tramways électriques de Dijon est créée pour construire et exploiter un réseau à voie métrique de tramways électriques à Dijon. Elle se substitue à Mrs Faye, Bellentant et Grammont détenteurs de la concession ,. Cette société anonyme est fondée le chez Maitre Pétrus Bernard, notaire à Lyon. Son siège se trouve 7 rue des Trois-forgerons, à Dijon (dépôt des tramways). Le conseil d'administration siège à Lyon , 4 rue Grollée puis 8 rue de la Charité. Le réseau est déclaré d'utilité publique le
En 1907, la Compagnie rejoint la Compagnie d'exploitation des tramways et chemins de fer qui regroupe des compagnies de tramways créés par Mrs Grammont et Faye (tels les tramways de Rennes et du Mans, Limoges, Angers, Besançon), et sera absorbée par Les Exploitations Électriques.
Cette société formera le groupe TRANSEXEL, lui-même absorbé dans VIA-GTI en 1981, puis intégré en 1999 dans Keolis. Cette entreprise exploite toujours les Transports en commun de Dijon (Divia), par sa filiale Keolis Dijon.
À l'origine le réseau comportait les lignes suivantes :
En 1911 après remaniement du réseau, les lignes étaient les suivantes :
À ces lignes urbaines s'ajoute une ligne suburbaine concédée aux TED en 1909.
Le dépôt et l'usine électrique sont situés rue des Trois Forgerons, près du port du canal.
En 1921, la ligne suburbaine de Dijon à Gevrey-Chambertin initialement concédée au TED, est rétrocédée au département de la Côte-d'Or qui l'intègre dans le réseau départemental.
Les TED reçoivent en 1932 la concession d'une nouvelle ligne vers Longvic et Ouges pour desservir le terrain d'aviation :
Deux prolongements sont réalisés sur la ligne 5
Les lignes disparaissent de la façon suivante:
En 1938 les véhicules ont eu un changement dans leur numérotation :