Concile de Turin
Dans cet article, nous aborderons le sujet de Concile de Turin dans une perspective globale et analytique, dans le but d'offrir une vision complète et détaillée de cette matière. Tout au long du texte, nous explorerons différents aspects liés à Concile de Turin, de son origine et de son histoire à sa pertinence aujourd'hui. De même, nous examinerons différentes opinions et théories sur le sujet, afin de fournir au lecteur une perspective large et enrichissante sur Concile de Turin. De plus, nous présenterons des exemples concrets et des études de cas qui aideront à illustrer et à illustrer l'impact de Concile de Turin dans divers domaines. Il ne fait aucun doute que Concile de Turin est un sujet d’un grand intérêt et d’une grande complexité, c’est pourquoi il est essentiel de l’aborder avec la profondeur et la rigueur qu’il mérite.
Le concile de Turin (en latin : Concilium taurinense) est un concile qui se tint à Turin, à la fin du IVe ou au début du Ve siècle, sur la convocation de l'évêque de Milan, Simplicien, à la demande d'évêques de Gaule, afin de régler certains différends frontaliers.
Contenu
L'évêque de Marseille, Procule, est reconnu primat d'églises de Narbonnaise seconde.
En Viennoise, où les évêques d'Arles et de Vienne se disputaient la dignité de primat, le concile décide que celle-ci reviendra à celui qui prouvera que sa cité est la métropole de la province.
Éditions de références
Actes du concile :
- Charles Munier, Concilia Galliae : A. 314 - A. 506, Corpus christianorum, Series latina, 148, 1963, pp. 54–58
Bibliographie
- (fr) Louis Duchesne, « Concile de Turin ou concile de Tours ? », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, XXXV (1891), n° 5, pp. 369–373
- (fr) Ernest-Charles Babut, Le Concile de Turin : Essai sur l'histoire des églises provençales au Ve siècle et sur les origines de la monarchie ecclésiastique romaine (417-450), Paris, A. Picard et fils, 1904, 321 p. (lire en ligne), puis Honoré Champion éditeur, Paris, 1910
- (fr) Louis Duchesne, « Le Concile de Turin », Revue historique, janvier-avril 1905, 30e année, tome 87, pp. 278–302 (lire en ligne)
- (fr) Ernest-Charles Babut, « La date du concile de Turin et le développement de l'autorité pontificale au Ve siècle. Réponse à Mgr Duchesne et à M. Pfister », dans Revue historique, mai-août 1905, 30e année, tome 88, p. 57-82 (lire en ligne), « Un dernier mot sur le concile de Turin en 417 », p. 324-326 (lire en ligne)
- (fr) Jean-Rémy Palanque, « Les dissensions des Églises des Gaules à la fin du IVe siècle et la date du concile de Turin », Revue d'histoire de l'Église de France, XXI (1935), n° 93, pp. 481–501
- (fr) Élie Griffe, « La date du Concile de Turin (398 ou 417) », Bulletin de littérature ecclésiastique, LXXIV (1973), pp. 289–295 (lire en ligne)
- (en) Christopher E. Chaffin, « The Application of Nicaea Canon 6 and the Date of the Synod of Turin », Rivista di storia e letteratura religiosa, XVI (1980), pp. 257–272
- (fr) André Chastagnol, « In ipso vestibulo resecandus : à propos de la date du concile de Turin », dans Louis Holtz (dir.), De Tertullien aux Mozarabes, Paris, Institut d'Études Augustiniennes, 1992
- (en) Michael E. Kulikowski, « Two Councils of Turin », Journal of Theological Studies, XLVII (1996), pp. 159–168
