Convoi no 62 du 20 novembre 1943
Dans cet article, nous allons aborder l'importance de Convoi no 62 du 20 novembre 1943 dans la vie quotidienne, en explorant sa pertinence dans différents aspects de notre société. De son impact sur l'économie à son influence sur la culture populaire, Convoi no 62 du 20 novembre 1943 joue un rôle fondamental dans la façon dont nous interagissons avec le monde qui nous entoure. Grâce à une analyse détaillée, nous examinerons comment Convoi no 62 du 20 novembre 1943 a évolué au fil du temps et comment il continue de façonner nos actions et nos décisions dans le présent. De plus, nous explorerons les perspectives futures de Convoi no 62 du 20 novembre 1943 et comment sa pertinence pourrait changer à l'avenir. Cet article vise à fournir un aperçu large et détaillé de l'importance de Convoi no 62 du 20 novembre 1943, invitant les lecteurs à réfléchir à son impact sur leur propre vie.
Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires.
Cet article est une ébauche concernant la Shoah.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
| Convoi no 62 du | ||||||||
| ||||||||
| Contexte | Seconde Guerre mondiale | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Mode de transport | Chemin de fer | |||||||
| Départ | Camp de Drancy () | |||||||
| Arrivée | Auschwitz-Birkenau | |||||||
| Déportés | Juifs | |||||||
| Survivants 8 mai 1945 | 29 | |||||||
| But de la déportation | Extermination | |||||||
| ||||||||
| modifier |
||||||||
Le convoi no 62 du est un convoi de déportation parti du camp de Drancy avec pour destination Auschwitz.
Histoire
Déportés notables
Parmi les 1 200 personnes (dont 150 enfants) du convoi, se trouvent le rabbin Josué Pruner et son épouse Alice, le grand-rabbin Bernard Schonberg, le conseiller d'État, ami de Philippe Pétain et président du Consistoire central israélite de France, Jacques Helbronner et son épouse Jeanne, Léon Reinach et ses enfants, Rosette Wolczak, le résistant Samuel Kohn, arrêté lors de la rafle de la rue Sainte-Catherine du , la poétesse et éducatrice Raissa Bloch, la mère de Malvine Lanzet, Anna Lanzet et le père de Joseph Joffo, Roman Joffo.
On trouve aussi Madeleine Lévy, résistante et petite-fille du capitaine Alfred Dreyfus et la résistante Nicole Weil-Salon, Léon Zadoc-Kahn, fils du grand-rabbin de France Zadoc Kahn et médecin-chef de l'Hôpital Rothschild et président du Comité central du Keren Hayessod France et son épouse, Suzanne Zadoc-Kahn, le médecin résistant, Sigismond Hirsch (37 ans) (survivant) et son épouse la résistante, Berthe Hirsch (36 ans), parents de Jean-Raphaël Hirsch, le plus jeune résistant de France, la résistante Huguette Wahl (29 ans), Chapse Gerenstein (42 ans) et Chendla Gerenstein (40 ans), parents de Liliane Gerenstein (11 ans) et Maurice Gerenstein (13 ans), deux des Enfants d'Izieu, déportés dans le convoi n°71, Bernard Holstein (53 ans) et son épouse Juliette Holstein (41 ans), les parents de Denise Holstein (17 ans) qui sera déportée dans le Convoi No. 77, survivante et témoin.
Évasions
Dix-neuf évasions ont lieu en cours de route dont celle du conseiller d'État Jean Cahen-Salvador et de l'acteur Robert Manuel.
Survivants
En 1945, 29 personnes sont des survivants de ce convoi.
Notes et références
- « Dans la Meuse, un couple d'éclusiers sauva un évadé du convoi n° 62 » (consulté le ).
