De nos jours, Denis-Marie Pellissier est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt dans différents domaines. Son impact ne se limite pas à un seul secteur, mais couvre un large éventail de domaines, de la technologie à la santé, en passant par la culture et la politique. Le phénomène Denis-Marie Pellissier a attiré l’attention de millions de personnes à travers le monde, générant des débats, des réflexions et des actions autour de sa signification, de ses implications et de ses conséquences potentielles. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Denis-Marie Pellissier, analysant son évolution, sa pertinence dans le contexte actuel et son impact possible dans le futur.
Membre du Conseil des Cinq-Cents | |
---|---|
- | |
Député de la Convention nationale | |
- | |
Conseiller général des Bouches-du-Rhône |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activités | |
Père |
Denis-Marie Pellissier est un homme politique français né le à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône) et mort le à Nyon (Suisse).
Son père, André Pellissier, médecin, est élu député aux États généraux de 1789.
Docteur en médecine à Saint-Rémy-de-Provence, Pellissier est élu en septembre 1791 député suppléant du département des Bouches-du-Rhône, le deuxième sur trois, à l'Assemblée nationale législative, où il n'est pas appelé à siéger.
Le 10 août 1792, la monarchie s'effondre. En septembre 1792, il est élu député suppléant des Bouches-du-Rhône, le deuxième sur sept, à la Convention nationale. Il est appelé à siéger à la faveur du désistement de Jean-Louis Carra, ayant opté pour le département de Saône-et-Loire.
Il siège sur les bancs de la Plaine. Lors du procès de Louis XVI, il vote la mort et rejette l'appel au peuple et le sursis à l'exécution. Il est absent lors de la mise en accusation de Marat et vote en faveur du rétablissement de la Commission des Douze.
En 1795, il est commissaire du Directoire dans les Bouches-du-Rhône puis administrateur du département. Il est réélu au Conseil des Cinq-Cents, le 23 germinal an VI. En 1800, il est conseiller général.
Frappé par la loi d'exil des régicides, en 1816, il part à Constance, puis à Nyon .
Il épouse le Louise Claire Raynaud, fille de l'avocat Toussaint Raynaud, puis le à Aix-en-Provence Marie Magdeleine Aimée Salomé Durand, fille de l'avocat Jacques Durand. Deux de ses fils seront maires de Saint-Rémy-de-Provence : Jules et André-Toussaint Pellissier.