Didone

Aujourd'hui, nous voulons plonger dans le monde fascinant de Didone. Quelle que soit sa signification pour chacun, Didone est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde au fil des années. De son impact sur la société à son influence sur la culture populaire, Didone a été un sujet de discussion constant et un sujet d'intérêt pour les chercheurs, les passionnés et les curieux. Tout au long de cet article, nous explorerons les différentes facettes de Didone, en analysant son importance dans différents contextes et son évolution dans le temps. Préparez-vous à vous lancer dans un voyage de découverte et d'apprentissage de Didone !

Les didones, peu utilisées en bureautique : la hampe du « t », plate à sa partie supérieure, est caractéristique du « Didot »

La famille typographique des didones (selon la classification Vox-Atypi) se caractérise par des empattements rectilignes et des déliés d’une extrême finesse. Leur apparition, à la fin du XVIIIe siècle, résultait moins d’un progrès dans l’art des graveurs que dans l’apparition d’une nouvelle qualité de papier vergé, et d’encres à séchage rapide, évitant de faire « baver » les lettres.

Associées dès le règne de Napoléon à une typographie « à la française », les didones furent massivement utilisées en France de 1810 aux années 1950 pour les imprimés règlementaires, les manuels scolaires, et une grande partie de l’édition scientifique. Mais à la faveur de la bureautique, l’emploi de cette famille de polices a largement régressé, même en France : une des principales causes est sans doute la résolution trop faible des écrans d’ordinateur, qui « gomme » ou « crénèle » les déliés.

Se rattachent à la famille des didones les polices suivantes :

Notes et références

  1. exception faite de la hampe du « t », qui se termine en pointe au lieu d’un plat.