Douchapt

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Douchapt
Douchapt
La mairie de Douchapt en 2021.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Yves Mahaud
2020-2026
Code postal 24350
Code commune 24154
Démographie
Gentilé Douchaptois
Population
municipale
346 hab. (2021 en diminution de 4,16 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 32″ nord, 0° 26′ 32″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 204 m
Superficie 8,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Douchapt

Douchapt est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois, la commune de Douchapt est entièrement située en rive gauche de la Dronne et comprend également une petite île au milieu de cette rivière, près du village de vacances de Beauclair.

Le bourg de Douchapt est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est de Ribérac, treize kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier, et 500 mètres au sud de la route départementale (RD) 710.

La commune est également bordée au sud-ouest par la RD 104.

Communes limitrophes

Douchapt est limitrophe de cinq autres communes. Au sud-est le territoire de Saint-Aquilin est distant d'environ 120 mètres et au nord-est, celui de Montagrier est éloigné d'environ 130 mètres.

Communes limitrophes de Douchapt
Saint-Méard-de-Drône Saint-Victor
Saint-Pardoux-de-Drône Douchapt Tocane-Saint-Apre
Segonzac

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Douchapt est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5b, date du Campanien 2, des calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine, et sa notice associée.

Carte géologique de Douchapt.

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 66 m au nord-ouest de la commune, à la pointe occidentale de l'île, là où la Dronne quitte le territoire communal pour servir de limite entre Saint-Méard-de-Drône et Saint-Victor, et 204 m au sud, au lieu-dit l'Abbaye, en limite de la commune et du bourg de Segonzac.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en . Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères et 14 sous-unités. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne,.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 8,68 km2,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,5 km2.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Dronne, le Pinquet, le Sauvagnac et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9,5 km de longueur totale,.

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons,. Elle borde la commune au nord sur deux kilomètres, face à Saint-Victor.

Deux de ses affluents de rive gauche baignent la commune : le Pinquet à l'ouest sur plus d'un kilomètre, et le Sauvagnac qui sert de limite naturelle à l'est sur plus de deux kilomètres et demi, face à Tocane-Saint-Apre.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours).

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 4 km à vol d'oiseau, est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Urbanisme

Typologie

Douchapt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,8 %), forêts (20,2 %), terres arables (16,8 %), zones urbanisées (5,3 %), prairies (2,9 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

Outre le bourg de Douchapt proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits :

  • l'Abbaye
  • Beauclair
  • les Bernichoux
  • Bois du Bollet
  • le Bollet
  • Bressol
  • les Burelles
  • Chabretaire
  • Claud de Fayoulette
  • les Combes
  • les Farges
  • Fayoulette
  • les Glories
  • la Grange
  • Lagrava
  • Chez Lebost
  • le Maine
  • Maison Neuve
  • Majoly
  • Margot
  • Papey
  • le Payssé
  • le Pinquet
  • Plaisance
  • Puy du Maine
  • Puygaren
  • la Roche
  • Sauvagnac
  • Subrenat
  • la Sylandie
  • le Treuil
  • les Vignauds
  • les Vignes.

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Douchapt est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999,. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvé le , pour les crues de la Dronne,.

Douchapt est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029,.

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Douchapt.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain). Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort,.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999.

Toponymie

La première mention écrite connue du lieu date de 1178 sous la forme latine Sanctus Petrus de Dupchac, dans une bulle du pape Alexandre III, suivie de Dopchac en 1365 (paroisse qui dépendait de la châtellenie de Saint-Astier), puis Dopchacum.

Le nom de la commune correspond à un personnage d'origine gauloise, Duppius, auquel a été ajouté le suffixe -acum indiquant la propriété, le tout pouvant se traduire par « domaine de Duppius ».

En occitan, la commune porte le nom de Dochac.

Histoire

Au XIVe siècle, la paroisse de Dopchac dépendait de la châtellenie de Saint-Astier.

La commune a été créée lors de la Révolution française.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Douchapt est rattachée au canton de Montagrier qui dépend du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926, date à laquelle ce dernier est supprimé et ses communes rattachées à l'arrondissement de Périgueux.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, le canton de Montagrier disparaît aux élections départementales de mars 2015. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme — renommé en 2020 canton de Brantôme en Périgord — et reste attaché à l'arrondissement de Périgueux lors de la réorganisation des limites d'arrondissement de janvier 2017.

Intercommunalité

En 1993, Douchapt intègre dès sa création la communauté de communes des Hauts de Dronne. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 en communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020,.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1988 ? Jean-Louis Desvergnes    
         
mars 2001 novembre 2017 Jean-Pierre Jugie DVG Responsable d'établissement industriel
février 2018
(réélu en mai 2020)
En cours Yves Mahaud DVG Enseignant au collège de Ribérac

Équipements et services publics

Justice

Dans le domaine judiciaire, Douchapt relève :

Population et société

Démographie

Les habitants de Douchapt se nomment les Douchaptois.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.

En 2021, la commune comptait 346 habitants, en diminution de 4,16 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
528562557622650601583621658
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
622647641564598574580507475
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
435456418421429421433377329
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
330297253260240251276284344
2018 2021 - - - - - - -
356346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête annuelle le .
  • En , Douchapt a accueilli pour la troisième fois, après 1934 et 1994, le comice agricole du canton de Montagrier, dont c'était la 135e édition.

Économie

Cultures de maïs au sud de la commune en 2009.

Emploi

En 2015, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 164 personnes, soit 45,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,3 %.

Établissements

Au , la commune compte trente établissements, dont dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans l'industrie, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans la construction.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Pierre-ès-Liens du XIIe siècle, remaniée au XIXe siècle. À l'extérieur, côté sud, une dalle du XIe siècle représentant deux fauves a été utilisée en remploi.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié édifiée en 1892, à la place d'une chapelle (Notre-Dame-de-Douchapt) du XVIIe siècle.
  • En contrebas et à l'ouest de cette chapelle se trouve la fontaine Saint-Pierre ou Saint-Pé. La fontaine comme la chapelle faisaient jadis l'objet d'un pèlerinage deux fois par an, le pour sdemander protection contre les intempéries et le plus important les 14 et pour vénérer la Vierge Marie.
  • Les locaux de la mairie ont été installés dans l'ancien presbytère du XVIIIe siècle ; une tour renfermant un escalier à vis lui est attenante à son angle sud-est.
  • Pigeonnier de Sauvagnac.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique,
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Décédé en fonctions.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
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Références

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