Eberhard Wächter (peintre)

Eberhard Wächter (peintre) suscite un intérêt croissant, soit en raison de son impact sur la société, soit en raison de sa pertinence dans le domaine scientifique. Depuis des décennies, Eberhard Wächter (peintre) a retenu l'attention des universitaires, des professionnels et du grand public en raison de son importance dans divers aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons différentes facettes de Eberhard Wächter (peintre), depuis son origine et son évolution jusqu'à son influence aujourd'hui. Nous analyserons comment Eberhard Wächter (peintre) a façonné le monde dans lequel nous vivons et quelles perspectives s'ouvrent autour de ce sujet. De plus, nous examinerons les implications éthiques et morales que Eberhard Wächter (peintre) peut soulever, sans négliger les avancées réalisées dans ce domaine.

Eberhard Wächter
Eberhard Wächter, par Ludovike Simanowiz
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 90 ans)
StuttgartVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Eberhard Georg Friedrich von WächterVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Formation
Académie des Beaux-Arts de Stuttgart (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Maîtres
Lieux de travail

Eberhard Wächter est un peintre wurtembergeois né à Balingen en , décédé à Stuttgart le .

Biographie

Arrivé à Paris au printemps 1781 en compagnie du graveur Johann Gotthard von Müller, Wächter devient élève de Jean-Baptiste Regnault, de David, puis de Gros. Dans l'atelier de David, il retrouve son compatriote le peintre Gottlieb Schick. Il se rend en Italie où, à Rome, il se convertira au catholicisme et sa peinture reflète alors ses sentiments religieux : L'Enfant Jésus et l'Agneau, Job et ses amis.

En 1798, il dut fuir devant l'armée révolutionnaire française et alla à Vienne n'ayant pas pu trouver d'emploi dans sa ville natale à cause de sa conversion. On trouve dans son rejet des règles académiques dénuées selon lui de toute sensibilité, des accointances avec celui des frères de Saint Luc, les fondateurs du mouvement nazaréen qui, en 1810, quittent l'Académie de Vienne pour les mêmes raisons et s'installent à Rome.

Œuvres

  • Sainte Cécile priant près d'un orgue, huile sur toile, 77 par 80, datée de 1837, passée en vente aux enchères chez Lempertz à Cologne le 18 novembre 2006, no 1501.

Liens externes