Dans le monde El Soro, nous trouvons des aspects infinis qui nous amènent à réfléchir, à nous questionner et même à nous émerveiller. El Soro est un sujet qui a suscité l'intérêt de nombreuses personnes à travers l'histoire, ses racines remontent à l'Antiquité et son influence est toujours présente dans la société contemporaine. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de El Soro, de son impact sur la culture à ses implications dans la vie quotidienne. À travers une analyse détaillée et enrichissante, nous chercherons à comprendre en profondeur tout ce que El Soro a à nous offrir, en perçant les mystères, en révélant des vérités et en offrant une vision globale de ce phénomène.
Présentation | |
---|---|
Nom de naissance | Vicente Ruiz El Soro |
Apodo | El Soro |
Naissance | Foyos Communauté valencienne Espagne |
Nationalité | espagnol |
Carrière | |
Alternative | 14 mars 1982 à Valence, Espagne Parrain Paco Camino, témoin, Pepe Luis Vázquez |
Confirmation d'alternative | 21 mai 1982 à Madrid Parrain, Rafael de Paula, témoin Pepín Jiménez 9 décembre 1990 à Mexico, Parrain, Curro Rivera, témoin Jorge Gutiérrez Argüelles |
Fin de carrière | 9 avril 1994 |
Compléments | |
un pasodoble taurin composé par Abel Moreno porte son nom | |
modifier |
Vicente Ruiz Soro plus connu sous le surnom de « El Soro », né le à Foyos (Espagne, province de Valence) est un matador espagnol.
« El Soro » commence modestement en 1977, mais lorsqu'il aborde les novilladas piquées, c'est un triomphe. Le à Puertollano avec Ángel Peralta face à des taureaux de Blanca Belmonte, il reçoit quatre oreilles et une queue.
Après 45 novilladas, il prend son alternative à Valence le devant le taureau Agraciado de l'élevage Torrestrella, avec pour parrain Paco Camino et pour témoin Pepe Luis Vázquez (fils). Il confirme le à Madrid avec pour parrain Rafael de Paula et pour témoin Pepín Jiménez de des taureaux de Marqués de Domecq et de Joaquín Núñez del Cuvillo.
Il devient alors un matador incontournable qu'on retrouve dans les Cartels les plus prestigieux : le , avec Emilio Muñoz et Paco Ojeda, il sort en triomphe des arènes de Talavera de la Reina après avoir obtenu deux oreilles et une queue. Il est célèbre aussi bien en France qu'en Amérique latine, en particulier pour sa dextérité à placer les banderilles dans des terrains réputés impossibles. On le retrouve souvent dans des cartels de maestros banderilleros avec Victor Mendes et Nimeño II.
Le , il est blessé à Madrid par un taureau de Baltasar Ibán. De nombreuses interventions chirurgicales ne réussissent pas à réparer son genou qui est définitivement abimé. « El Soro » ne peut plus marcher ; il se retire des arènes cette année-là. Après une brève réapparition dans le ruedo en 1993, il met fin à sa carrière le .
Il fait son retour dans les arènes de Xativa (province de Valencia) le et triomphe en coupant deux oreilles à son second toro.