Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Enrico Baj, un aspect fondamental qui traverse différents domaines de la vie quotidienne. Nous approfondirons ses origines, son évolution au fil des années et sa pertinence aujourd'hui. À travers une analyse détaillée et exhaustive, nous examinerons les différentes approches et perspectives qui existent autour de Enrico Baj, ainsi que ses implications dans les sphères sociales, culturelles, économiques et politiques. De même, nous nous arrêterons pour examiner comment Enrico Baj a impacté la façon dont nous percevons le monde qui nous entoure et comment il a façonné nos interactions et nos relations avec les autres individus. Au fil de ces pages, nous proposons d’approfondir tous les aspects de Enrico Baj, dans le but de mettre en lumière un sujet d’une grande actualité à l’époque contemporaine.
En 1950, avec le peintre Sergio Dangelo, il fonde le Mouvement nucléaire (ou Movimento Arte Nucleare), considéré comme l'équivalent italien du mouvement CoBrA.
En 1953, il se rapproche du peintre Asger Jorn dans le but de fonder le Mouvement international pour un Bauhaus imaginiste et organise les Rencontres internationales de céramique d'Albisola, auxquelles participent les peintres Matta et Roland Giguère. A la même période, il se lie d'amitié avec le peintre Néerlandais Guillaume Corneille, avec lequel il réalise quelques décennies plus tard des œuvres à quatre mains.
À partir de 1955, il compose ses tableaux avec des éléments les plus hétéroclites comme des morceaux de verre, des écheveaux de laine, de la toile à matelas, des cadrans de montre. Cette même année, avec l'écrivain Édouard Jaguer, il crée la revue italienne Il gesto.
À partir de 1965, il commence une série de collages représentant des Dames : Dame Ninette de Valois, 1974 et des Généraux en costume d'apparat surchargé de décorations : Lieutenant John Talbot, Premier comte de Shrewsbury.
En 1970, il réalise les Funérailles de l’anarchistePinelli, une fresque inspirée du Guernica de Picasso, longtemps interdite d’exposition,.
En 1991, sa rencontre avec le peintre Régis Deparis sera à l'origine d'une longue amitié. En 1993, un ensemble de quarante-cinq tableaux réalisés à quatre mains avec l'artiste français, intitulé Le Moi divisé, d’après l’ouvrage du psychanalyste Ronald Laing, sera présenté à Paris.
Pour Baj, le moteur de son inspiration n’était ni l’appât du gain, ni la gloire factice mais bien « l’esprit libertaire toujours présent dans les pulsions initiales de l’artiste. Pourquoi s’engage-t-on dans cette activité là ? Pour la liberté de l’invention, l’imagination créatrice, l’adhésion à son temps ».
Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre, Fribourg, Suisse, et Presses universitaires de France, Paris, 1982, p. 44.
José Pierre, L'Univers surréaliste, Somogy, Paris, 1983, p. 302.
Gabriele Huber, Enrico Baj und die künstlerischen Avantgarden 1945-1964, Berlin, Mann (Gebr.), 2003, (ISBN3786119961).
Otto Hahn, Voyage à trois : Enrico Baj, Hervé di Rosa, Richard di Rosa, éditions Au Même Titre, 2000, (ISBN2912817048).
Articles
Bernard Hennequin, « Enrico Baj, Sous l’art, l’or », in Réfractions, no 11, automne 2003.
Angela Sanna, « Le grand météore nucléaire », in Enrico Baj. Bambini, ultracorpi e altre storie, «I Quaderni» della Fondazione Arnaldo Pomodoro, no 2, Milan, 2013, sous la direction de F. Gualdoni.
Angela Sanna, « Futurismo antifuturista di Baj », in Schegge Futuriste – Studi e ricerche, sous la direction de Mauro Cozzi et Angela Sanna, Florence, Leo S. Olschki, 2012.
Angela Sanna, « Enrico Baj et le surréalisme, de l'exposition Eros à la querelle de l'Anti-procès », in Studiolo, revue d'Histoire de l'art de l'Académie de France à Rome - Villa Medici, no 3, Somogy Éditions d'art, 2005.
Angela Sanna, « Enrico Baj - Edouard Jaguer. Un pont culturel entre Milan et Paris dans l’Europe d’après-guerre », in Pleine marge – Cahiers de littérature, d’arts plastiques & de critique, Paris, Éditions Peeters-France, no 7, .