Dans le monde d'aujourd'hui, Forgeron est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence sur le lieu de travail ou de son influence sur la culture populaire, Forgeron a acquis une place de choix dans le débat public. Au fur et à mesure que nous approfondirons cet article, nous explorerons les différentes facettes de Forgeron et examinerons son importance dans différents contextes. De son impact sur l'économie mondiale à son rôle dans l'évolution de la technologie, Forgeron continue d'être un sujet très pertinent dans le monde moderne. Grâce à une analyse détaillée, nous tenterons de faire la lumière sur les complexités et les nuances entourant Forgeron, dans l'espoir de fournir une compréhension plus profonde et plus complète de ce phénomène.
Forme féminine |
Forgeronne |
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Secteur |
Metallurgie |
CITP |
7221 |
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CNP (Québec) | |
FAP (France) |
D0Z20 |
Statbel (Belgique) |
765 |
PCS (France) |
673b |
SEFRI (Suisse) |
44032 |
Le forgeron est un ouvrier ou artisan professionnel qui forge à la main et assemble des pièces de métal pour réaliser des objets usuels ou entrant dans la composition d'un bâtiment.
« Forgeron » (anciennement aussi forjeron) est un dérivé formé en moyen français à partir du verbe « forger », à l'aide du suffixe « -on ». Auparavant, on disait un « fèvre » (d'où les surnoms, puis patronymes Fabri, Faivre, Febvre, Fèvre, Lefèvre, Lefebvre, Lefébure, Lefeure). L'occitan a Faure et Fabre. Le mot romain remonte au latin faber « forgeron ».
Le verbe « forger » (anciennement forgier) avait auparavant aussi le sens de « créer » et au sens figuré d'« imaginer, inventer ». Le sens actuel de « travailler un métal » est également attesté vers la même époque. Il est issu du latin classique fabricare par évolution phonétique.
L'activité de forgeron est apparue en même temps que la découverte du travail des métaux, environ 5 000 ans avant Jésus-Christ ; elle est devenue un métier à part entière à mesure que les peuples exprimèrent leur besoin d'avoir des objets plus résistants et aux usages variés : outils, armes, parties mécaniques, grilles, clefs, bijoux, etc. Dans l'Antiquité, les forgerons utilisaient dans leurs fours du charbon de bois plutôt que du charbon de terre (houille). La raison en est que le charbon de bois est un combustible plus difficile à enflammer que le bois sec mais qui dégage une chaleur bien supérieure à celle que produit la combustion du bois.
Au Moyen Âge, le forgeron utilisait le plus souvent une enclume et un marteau pour façonner des morceaux de bronze, de cuivre ou d'argent, après les avoir portés à incandescence dans des fours hautement réfractaires. On appelle forge l'atelier du forgeron, et forgeage son activité.
Sur les médailles et monnaies, la forge est souvent représentée par le marteau et l'enclume.
Les pièces sont chauffées dans un brasier de charbon de houille dont le feu est entretenu par une soufflerie connectée à une tuyère.
Les roues de charrettes étaient fabriquées par le charron et ensuite cerclées à chaud par le forgeron. Dans les villages, c'était l'occasion d'une réunion de main-d’œuvre pour cercler plusieurs roues dans la journée. La jante en fer avait été fabriquée avec une circonférence inférieure de deux ou trois centimètres à celle de la roue en bois. La dilatation permettait de placer cette jante et de la serrer par refroidissement autour de la roue. Aujourd'hui, cette technique est reproduite à l'occasion de fêtes rurales.
Pour fabriquer des objets ayant à supporter d'importantes contraintes (épées, boucliers…), divers alliages et traitement (damas) ont été mis au point.
L'artisan dont le métier consiste à ferrer les chevaux est le maréchal-ferrant.