Cet article abordera la question de Franz de Champagny, qui est aujourd'hui de la plus haute importance. Son impact dans différents domaines sera analysé, ainsi que sa pertinence dans la vie quotidienne. Franz de Champagny est un sujet qui a retenu l'attention des experts et des amateurs, et son étude a donné lieu à des discussions passionnées et à des points de vue divers. Tout au long de cet article, différentes perspectives sur Franz de Champagny seront explorées, des recherches récentes seront présentées et ses implications potentielles pour l'avenir seront discutées. Il est donc essentiel de comprendre l’importance de Franz de Champagny et son influence sur les aspects fondamentaux de notre société.
Fauteuil 4 de l'Académie française | |
---|---|
- | |
Duc de Cadore |
---|
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
François-Joseph-Marie-Thérèse de Nompère de Champagny |
Nationalité | |
Activités | |
Famille | |
Père | |
Mère |
Victoire Blandine Hue de Grosbois (d) |
Conjoint |
Marie Camus du Martroy (d) |
Membre de | |
---|---|
Distinction |
Franz de Champagny de son nom complet François-Joseph-Marie-Thérèse de Nompère de Champagny, né le à Vienne (Empire d'Autriche) et mort le à Paris, est un historien, journaliste, essayiste et académicien français.
François-Joseph-Marie-Thérèse de Nompère de Champagny est le fils de Jean-Baptiste Nompère de Champagny (1756-1834), qui fut ambassadeur en Autriche au moment de sa naissance, il reçut le prénom de son parrain François Ier d'Autriche.
Il fut magistrat et journaliste, rédacteur à la revue Le Correspondant.
Fervent catholique, il a écrit de nombreux ouvrages historiques sur la Rome antique et les débuts de la chrétienté ainsi que de divers ouvrages politiques.
Il fut également historien et publiciste, collaborateur de la Revue des Deux Mondes, fondateur et rédacteur de La Revue contemporaine, il fut plusieurs fois candidat à l’Académie française, soutenu par Guizot et Dupanloup ; élu le 29 avril 1869 en remplacement de Pierre-Antoine Berryer, il n'était pas, bien que royaliste et clérical, un candidat nettement hostile à Napoléon III, deux de ses frères étant députés officiels, son élection fut l'objet d'un marchandage entre le parti politique de Guizot et les impérialistes, qui tourna à la confusion de ces derniers ; il fut reçu le 10 mars 1870 par Sylvestre de Sacy, et il reçut Émile Littré.
Il était également membre de la Société d'archéologie et d'histoire de Seine-et-Marne et propriétaire du château des Trois-Moulins (lieu-dit à cheval sur les communes de Maincy, Melun et Rubelles).
Il est inhumé au cimetière du Montparnasse (3e division, 315 P 1834).
Il épousa, le 15 mai 1834 , Marie Charlotte Jeanne Camus du Martroy (née le 11 juin 1813 - décédée 29 janvier 1892 à Paris), laquelle est sa nièce, fille de Emmanuel Camus du Martroy (1786-1843), baron du Martroy et de l'Empire et de « Zéphyrine de Nompère de Champagny de Cadore » (née le 11 mai 1793 à Saint-Vincent-de-Boisset - décédée le 14 octobre 1824 à Chauconin), sœur de l'historien. La forte consanguinité du couple pourrait expliquer les nombreux cas de surdi-mutité et de mortalité des enfants.