Dans le monde d'aujourd'hui, Gérard Grunberg est un sujet qui a retenu l'attention de personnes de tous âges et de tous intérêts. Des universitaires et experts en la matière à ceux qui recherchent simplement des informations générales, Gérard Grunberg est devenu un point de référence crucial dans la culture moderne. Avec son impact sur divers aspects de la société, Gérard Grunberg a généré des débats, des discussions et des réflexions qui cherchent à comprendre sa pertinence dans le contexte actuel. Dans cet article, nous explorerons les différents angles de Gérard Grunberg, de son origine à son évolution, afin de faire la lumière sur l'un des sujets les plus d'actualité aujourd'hui.
Directeur de recherche au CNRS |
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Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
Institut d'études politiques de Paris (jusqu'en ) |
Activité |
Parti politique |
Parti socialiste (jusqu'en ) |
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Distinction |
Gérard Grunberg, né le à Agadir (Maroc), est un politologue français.
Gérard Grunberg suit des études de sciences économiques et de droit, et obtient une licence d'économie ainsi qu'une licence de droit. Il est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (promotion 1965), où il obtient ensuite un DEA en science politique.
Marié à une orthophoniste, il a deux fils.
Gérard Grunberg enseigne à l'Institut d'études politiques de Paris. Dans les années 1980, il donne un enseignement sur le socialisme et le communisme. Actif au sein de l'école, il préside à partir de 2004 le comité des acquisitions de la bibliothèque de Sciences Po. En 1985, il devient directeur de recherche au CNRS.
Il est directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) au Centre d'études européennes de Sciences Po.
En 2000, il est président de la section 40 du CNRS et membre du conseil « Département Sciences de l'homme et de la société »
En 2001, il est nommé au conseil scientifique du comité de concertation pour les données en sciences humaines et sociales, et y est renouvelé en 2006. Il quitte cette fonction en 2007, date à laquelle Bruno Latour lui succède.
En 2013, il est élevé au grade de chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur au titre du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Il intervient régulièrement dans l'émission C dans l'air. Il anime depuis 2015 le site telos-eu.com.
Il est membre du cabinet de Michel Rocard lorsque celui-ci est Premier ministre, comme chargé de mission puis comme conseiller technique.
Il est adhérent du Parti socialiste jusqu'en 1995.
Son premier livre, France de gauche, vote à droite, paraît en 1981. L'auteur forge, avec Étienne Schweisguth, le terme de « libéralisme culturel ».