Dans cet article, le sujet de Geoffroy Boulard sera abordé sous différents angles, analysant son importance, son impact et sa pertinence dans la société actuelle. Divers aspects liés à Geoffroy Boulard seront explorés, ainsi que ses implications au niveau social, culturel, économique et politique. Tout au long de l’article, différents avis et points de vue seront présentés, dans le but de proposer une vision complète et enrichissante sur Geoffroy Boulard. De plus, des solutions et initiatives possibles seront examinées pour relever les défis que pose Geoffroy Boulard, afin d'encourager le dialogue et la réflexion autour de ce sujet.
Geoffroy Boulard | |
Fonctions | |
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Maire du 17e arrondissement de Paris | |
En fonction depuis le (6 ans, 9 mois et 16 jours) |
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Réélection | 28 juin 2020 |
Prédécesseur | Brigitte Kuster |
Vice-président de la Métropole du Grand Paris | |
En fonction depuis le (3 ans, 9 mois et 7 jours) |
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Élection | |
Président | Patrick Ollier |
Conseiller de Paris | |
En fonction depuis le (10 ans et 28 jours) |
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Élection | 30 mars 2014 |
Réélection | 28 juin 2020 |
Maire | Anne Hidalgo |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Rouen (Seine-Maritime) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP (jusqu'en 2015) LR (depuis 2015) |
Diplômé de | Université du Havre Université de Rennes-I Université de Cergy-Pontoise ESSEC |
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Geoffroy Boulard, né le à Rouen (Seine-Maritime), est un homme politique français.
Membre des Républicains, il est maire du 17e arrondissement de Paris depuis 2017 et vice-président de la Métropole du Grand Paris chargé de la communication et de l'innovation numérique depuis 2020.
Natif du pays de Caux (Seine-Maritime) d'un père exploitant agricole et d'une mère enseignante, Geoffroy Boulard obtient un Diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) en management de projets européens à l'université de Cergy-Pontoise et depuis , il est titulaire du Advanced Certificate Négociation, Médiation et Résolution de conflits (ESSEC).
Spécialisé dans l'accompagnement des créateurs d'entreprises et porteurs de projets, Geoffroy Boulard est conseiller auprès de dirigeants depuis 2003 (franchises, portage salarial).
Élu sur la liste d'union de la droite et du centre dans le 17e arrondissement conduite par Françoise de Panafieu lors des élections municipales de 2008 à Paris, il devient adjoint de la maire Brigitte Kuster délégué au commerce, à l'artisanat et à l'attractivité économique jusqu'en . De 2011 à 2014, il est chargé de la sécurité et de la politique de la Ville. En , il est élu conseiller de Paris et premier adjoint à la maire du 17e arrondissement Brigitte Kuster dont il était le directeur de campagne, délégué du conseil de quartier La Fourche-Guy Môquet à la suite de l'élection au premier tour de la liste menée par Brigitte Kuster (53,53%). Il devient vice-président du groupe Les Républicains au Conseil de Paris[réf. nécessaire].
En , la presse révèle qu'il habite dans un logement social.
Depuis 2014, il siège dans différents conseils d’administration : SYCTOM, Paris Choose Region,Paris Europlace, Paris Ile-de-France Capitale Économique, 27e Region.
Le , il succède à Brigitte Kuster comme maire du 17e arrondissement de Paris, cette dernière ayant été élue députée de la 4e circonscription de Paris.
Il est élu le , par la Métropole du Grand Paris, conseiller métropolitain délégué aux affaires générales et administratives, auprès de Patrick Ollier.
Le 28 juin 2020, au second tour des élections municipales, sa liste l’emporte (55,9 % des suffrages exprimés) face aux listes de Karen Taieb et Agnès Buzyn. Il est ensuite réélu maire du 17e arrondissement le 11 juillet 2020.
Le , Geoffroy Boulard lance le site web mobile signalerunrat.paris, carte crowdsourcée des rats du 17e arrondissement de Paris. L'objectif est de relever et de reporter à la mairie de Paris l'ensemble des rongeurs signalés sur l'outil. En 24h, le site reçoit plus de 700 signalements et plus de 6 500 visiteurs uniques. Le site internet connaît une renommée mondiale, et en quelques semaines, le maire Geoffroy Boulard revendique les 3 000 signalements. En , la carte crowdsourcée est présentée à New York, où Geoffroy Boulard est reçu par Gale Brewer et Eric Adams, présidents des arrondissements de Manhattan et de Brooklyn.
Geoffroy Boulard demande au préfet de police de Paris l'extension du périmètre de sécurité du maintien de l’ordre après l'« acte II » du 24 novembre 2019. Il demande également à être reçu avec les collègues maires d’arrondissements du 1er, 8e, 9e et 16e au ministère de l'Intérieur après les graves violences dans le quartier de Ternes proche de l'Étoile lors de l'« acte III ». Après le 1er décembre, il demande davantage d'interpellations préventives avant l'« acte IV » du et l’interdiction de la manifestation sur les Champs-Élysées à l'occasion de l'« acte V » du à Paris.
Après les attentats de Charlie Hebdo, Geoffroy Boulard intervient en au Conseil de Paris sur la radicalisation d'agents municipaux (dont l’un des frères Kouachi), demandant à la ville de Paris quelles mesures allaient être prises pour connaître les antécédents des personnes recrutées, et les consignes données aux cadres de la ville.
En , il est à l’origine du partage d'informations sur les individus suspectés de radicalisation entre les maires d'arrondissements de Paris et la Préfecture de Police : les élus qui font des signalements auprès des services de l'État sur un individu pouvant s'être radicalisé bénéficient désormais d’un retour confidentiel.
En , à sa demande, la mairie de Paris s’est engagée auprès des élus du Conseil de Paris à communiquer des données relatives, d’une part, au bilan des dispositifs de prévention de la radicalisation dans les services publics parisiens (notamment les signalements à l’État de personnes radicalisées) et, d’autre part, aux nombres de sanctions disciplinaires prises par la mairie à l’encontre d’agents de la Ville ayant porté atteinte au principe de laïcité dans l’exercice de leurs fonctions.
Lors de la pandémie de la COVID-19, Geoffroy Boulard a mis en place en mars 2020 l'un des premiers drive, COVID au sein de la mairie du 17e arrondissement et à destination du personnel soignant. En parallèle, près de 60.000 masques ont été distribués et envoyés par la mairie du 17e arrondissement aux commerçants et habitants de l'arrondissement.
En janvier 2021, au regard de la lenteur de la politique de vaccination du Gouvernement, Geoffroy Boulard a proposé de mettre sa mairie à disposition afin qu'elle puisse accueillir un centre de vaccination. Ce sera chose faite le lundi 25 janvier 2021, lorsque le centre de vaccination de la mairie du 17e arrondissement est mis en place. Cependant, en raison du manque de doses de vaccin son ouverture est différée.
Durant la grève des éboueurs de 2023, le mouvement social contre la réforme des retraites a affecté le ramassage des ordures dans tous les arrondissements de la Ville de Paris. Geoffroy Boulard a lancé une pétition demandant à la mairie de Paris la privatisation de la collecte des déchets des arrondissements (2e, 5e, 6e, 8e, 9e, 12e, 14e, 16e, 17e et 20e arrondissements), en rappelant que la Chambre régionale des comptes a préconisé à deux reprises (en 2011 et en 2017) une privatisation générale du service de collecte, soulignant ainsi un coût de la collecte à la tonne plus bas et un meilleur niveau de performance du service,.
En 2013, il devient trésorier de Pierre-Yves Bournazel, candidat à la primaire pour la candidature UMP en vue des élections municipales de 2014.
Fin , il devient secrétaire départemental adjoint de la fédération Les Républicains (LR) de Paris puis le , lors des élections internes du parti Les Républicains, il est élu délégué de la 3e circonscription de Paris.
Le , soutenu par Frédéric Péchenard et Philippe Goujon il est nommé secrétaire départemental LR de Paris,.
Début , il appelle à cesser « Le Wauquiez bashing permanent ». Il se prononce pour la dissolution de l'Assemblée nationale et annonce son soutien à François-Xavier Bellamy pour les élections européennes de 2019
Le , il démissionne après le faible score de la liste LR aux élections européennes 2019 (10,2 % des suffrages) dans la capitale pour se consacrer au 17e arrondissement[réf. nécessaire].
En 2019, Benjamin Griveaux, tête de liste La République en marche (LREM), entre en discussion avec lui pour les élections municipales de 2020 à Paris,. Geoffroy Boulard est officiellement investi à l’unanimité par la commission nationale d'investiture de LR, malgré l'opposition de Rachida Dati, pour représenter les couleurs « de la droite et du centre » dans l'arrondissement alors qu'un sondage le place comme favori. En janvier 2020, Benjamin Griveaux est investi en tant que tête de liste par LREM dans le 17e arrondissement. A la suite de son renoncement, Agnès Buzyn deviendra également tête de liste dans cet arrondissement. Le 15 janvier 2020, Valérie Pécresse, présidente du conseil régional, annonce son soutien à Geoffroy Boulard lors de ses vœux.
En décembre 2015, il est élu Conseiller métropolitain de la Métropole du Grand Paris, délégué à l'Administration et aux Ressources Humaines. Il est également élu à la présidence de la commission aménagement numérique de la Métropole du Grand Paris.Le 28 juin 2020, il est réélu conseiller métropolitain. En juillet 2020, il devient Vice-Président de la Métropole du Grand-Paris chargé de la communication et de l'innovation numérique. Il est à l'initiative du "Réseau élus Métropole" qui regroupe une trentaine de communes issues de la Métropole du Grand Paris.
En 2015, il soutient la candidature aux primaires de Patrick Ollier face à Vincent Jeanbrun pour la présidence de la Métropole du Grand Paris.
Geoffroy Boulard a soutenu la manifestation organisée le par La Manif pour tous, il participera également à celle du . Il signe en 2014 la charte des municipales de la Manif pour tous. Il fait partie des co-signataires en de la tribune « L'appel des colistiers de NKM en faveur de la famille ».
En mai 2015, il reproche à la ministre de la Justice Christiane Taubira de ne pas chanter La Marseillaise lors de la journée commémorative du souvenir de l'esclavage et de son abolition.
En , il condamne les agressions des personnes transsexuelles rue de La Jonquière et soutient Julia Boyer après son agression place de la République à Paris.
Il est marié et père de trois enfants.