Dans le monde contemporain, Gilles Vidal (écrivain) a acquis une importance sans précédent. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de son rôle dans la culture populaire ou de sa pertinence dans le monde universitaire, Gilles Vidal (écrivain) est devenu un sujet de conversation récurrent. En fait, il n’est pas surprenant que Gilles Vidal (écrivain) fasse l’objet de débats et d’analyses dans de nombreux domaines, puisque son influence s’étend à de multiples aspects de la vie moderne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène Gilles Vidal (écrivain), en abordant ses différentes facettes et en analysant son importance dans le contexte actuel.
Après une enfance toulousaine, il devient libraire à Paris (La Grande fenêtre), puis crée dans les années 1990 les éditions L’Incertain. Il anime ensuite diverses collections, notamment « Nuit grave » chez Fleuve noir. Il est l’auteur d’une quarantaine de livres, des romans noirs et des thrillers, mais aussi des recueils de nouvelles et des essais, sur des sujets aussi variés que les chats, le football et le vin. Ses œuvres les plus connues sont Le plus dur reste à faire, Hymnes urbains et Mémoire morte. Il vit en région parisienne, et travaille dans l’édition.
Œuvres publiées
Romans et nouvelles
Quelques vies de Dorian, Galilée, 1979
Le Froid aux yeux, Jean-Luc Lesfargues, 1983
Tuer le temps, L’Incertain, 1990
Je te meurs, Car rien n’a d’importance, 1992
Le Malheur de nos vies, La Bartavelle, 1992
Travelling, La Bartavelle, 1993
Le plus dur reste à faire, Le Castor Astral, 1995
Je sers à quoi ?, Le castor Astral, 1996
Angles d’attaque, Méréal, 1996
Nul si découvert, Le Castor Astral, 1997
Les Deniers du colt, « Le Poulpe », Baleine, 1997
L'Endroit le plus fragile du corps de l'homme, Hors Commerce, 1999
Cash back, La Bartavelle noire, 1999
Hymnes urbains, Hors Commerce, 2000
Amorces, Jacques-Marie Laffont éditeur, 2003, réédition Atelier de presse, 2006
Exister relève du prodige, Atelier de presse, 2006
Sombres héros, Atelier de presse, 2008
Les Portes de l'ombre, « Coups de tête », Éditions Les 400 coups, 2011