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Président de la République | Konstantínos Tsátsos |
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Premier ministre | Konstantínos Karamanlís |
Élection | 20 novembre 1977 |
Législature | IIe |
Formation | |
Fin | |
Durée | 2 ans, 5 mois et 12 jours |
Parti politique | ND |
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Ministres | 21 |
Femmes | 0 |
Hommes | 21 |
Parlement |
171 / 300 |
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Le gouvernement Konstantínos Karamanlís VII (en grec moderne : Κυβέρνηση Κωνσταντίνου Γ. Καραμανλή 1977) est le gouvernement de la République hellénique entre le et le , sous la IIe législature du Parlement.
Il est dirigé par le conservateur sortant Konstantínos Karamanlís, vainqueur des élections législatives à la majorité absolue. Il succède au gouvernement Karamanlís VI et cède le pouvoir au gouvernement du conservateur Geórgios Rállis après l'élection de Karamanlís à la présidence de la République.
Dirigé par le Premier ministre conservateur sortant Konstantínos Karamanlís, ce gouvernement est constitué et soutenu par la Nouvelle Démocratie (ND). Seule, elle dispose de 171 députés sur 300, soit 57 % des sièges du Parlement.
Il est formé à la suite des élections législatives du 20 novembre 1977.
Il succède donc au gouvernement Karamanlís VI, constitué et soutenu dans les mêmes conditions.
Au cours du scrutin législatif, la ND enregistre un très fort recul avec 41,8 % des voix, soit 12 points de moins que lors des précédentes élections. Le Mouvement socialiste panhellénique (PASOK) d'Andréas Papandréou remplace l'Union du centre démocratique (EDIK) de l'ancien ministre des Affaires étrangères Geórgios Mávros comme principal parti de l'opposition.
Karamanlís et son équipe de 21 ministres sont assermentés au palais présidentiel d'Athènes par le président de la République Konstantínos Tsátsos le .
Deux ans et demi après sa prise de fonction, le Premier ministre est élu chef de l'État par le Parlement, le . Il démissionne aussitôt de la présidence de la ND, qui lui choisit pour successeur le ministre des Affaires étrangères Geórgios Rállis au détriment du ministre de la Défense nationale Evángelos Avéroff trois jours plus tard.
Rállis constitue alors son équipe gouvernementale, dans laquelle il maintient Avéroff, le .