Dans cet article, nous allons approfondir Gustave Brion, un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces dernières années. Gustave Brion est un sujet qui couvre un large éventail d'aspects, de son impact sur la société à ses implications dans le monde des affaires. Tout au long de cet article, nous examinerons les différentes facettes de Gustave Brion et explorerons son évolution au fil du temps. Nous examinerons en outre sa pertinence aujourd’hui et discuterons de son impact possible dans le futur. De ses origines à ses applications contemporaines, Gustave Brion est un sujet qui continue de susciter intérêt et débat, et nous sommes ravis de plonger dans son étude dans cet article.
Gustave Brion est né à Rothau (Bas-Rhin). Il est le petit-neveu de Frédérique Brion avec qui Goethe noua une brève idylle lors de son séjour dans la région.
Il débute au Salon de 1847 à Paris et y expose régulièrement les années suivantes. Sa production est remarquée à plusieurs reprises : il reçoit une médaille de 2e classe au Salon de 1853, une médaille de 1re classe au Salon de 1863, et une médaille de 2e classe à l'Exposition universelle de 1867. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1863.
↑Archives de Paris, état-civil numérisé du 14e arrondissement de Paris, registre des décès de l'année 1877, acte no 2644 du , vue 19/31 de la numérisation. Le peintre est mort à son domicile situé au 91, boulevard Arago. Son décès est déclaré par son frère Albert Brion, 54 ans, ingénieur-mécanicien à Illkirch.
↑Catalogue général officiel. Beaux-arts : exposition centennale de l'art français (1789-1889) / Exposition universelle internationale de 1889 à Paris, , Paris, Exposition internationale, 1889.
Hélène Chew, « Gustave Brion, illustrateur d'archéologie, ou le “désigneux de l'Empereur” », Cahiers alsaciens d'archéologie, d'art et d'histoire, no 47, 2004, pp. 151-168.
Catherine Granger et Hélène Chew, « Archéologie et peinture sous Napoleón III : le Siège d'une ville par les Romains par Gustave Brion », La Revue du Louvre et des musées de France, no 2, 2003, pp. 69-78.
Hans Haug, « Un peintre alsacien sous le Second Empire. Gustave Brion (1824-1877)», La vie en Alsace, 1925, pp. 41-60.
Markus Pilgram, Gustave Brion (1824-1877), mémoire de maîtrise d'Histoire de l'art, université Paris X-Nanterre, 1992.
Charles Timbal, Notes et causeries sur l'art et sur les artistes, Paris, E. Plon, 1881, p. 382.
Céline Schwederle, « Vie et œuvre d'un peintre alsacien », L'Essor, no 241, , p. 2-7 (ISSN0750-814X). Consultable à la bibliothèque d'histoire de l'Université de Strasbourg cote : ALS/20.