Dans le monde d'aujourd'hui, Hélisurface est devenu un sujet d'intérêt et de débat croissant. À mesure que la société progresse, les différentes perspectives et discussions autour de Hélisurface ont conduit à une plus grande prise de conscience et à une meilleure compréhension de son importance. Que ce soit à travers des avancées technologiques, des changements culturels ou des découvertes scientifiques, Hélisurface a retenu l'attention des experts et du grand public. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Hélisurface et comment il a eu et continuera d'avoir un impact sur divers aspects de nos vies.
Une hélisurface est une zone d'atterrissage pour hélicoptères à titre occasionnel, elle ne doit pas dépasser plus de 200 mouvements annuels ou 20 mouvements journaliers (atterrissage et décollage = 2 mouvements). Elle ne peut également se situer en agglomération. Dans le cas où l'aire d'accueil ne respecte pas une de ces règles, elle est considérée comme une hélistation.
Une telle plateforme ne fournit pas les services d'un héliport, tels l'approvisionnement en carburants ou les services météo, pas plus qu'elle ne dispose d'un contrôle du trafic aérien.
Ces hélisurfaces sont fréquentes dans les hôpitaux et certains grands immeubles de bureaux, et le plus souvent situés sur le toit des bâtiments : les hélicoptères peuvent alors atterrir pour embarquer ou débarquer des passagers,.
De même, de telles plates-formes hélicoptère existent lorsque les conditions d'accès sont difficiles, ou lorsque des situations d'urgence peuvent survenir :
Elles peuvent être installées de manière permanente, ou bien de façon temporaire, à l'occasion d'une manifestation ou d'une catastrophe (tremblement de terre par exemple) ou en situation de guerre.
Les dimensions d'une hélisurface sont définies selon le type d'hélicoptères à recevoir et par un marquage peint à même le sol.
Depuis le , la FAA préconise une largeur et une hauteur au minimum égale à 2,0 RD, RD étant le diamètre du rotor principal.
Pour les vols de nuit, on assiste également à la popularisation du marquage dynamique électroluminescent sous E.L.I.S.A. (ElectroLuminescentfield Intuitive Signals for Aeronautics). Ce protocole de conversion offre une surface de balisage lumineux égale à la dimension totale de l'hélisurface mais également, un système d'assistance à la navigation.
Le trafic d'une hélisurface se limite à, au maximum, vingt mouvements par jour.